JC, détail de La relique du Navigateur Inconnu
Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème
De la mer, infusé d’astres et lactescent,
Dévorant les azurs verts; où, flottaison blême
Et ravie, un noyé pensif parfois descend;
Arthur Rimbaud, Le Bateau ivre, Extrait
…et Hécate s’est envolée vers les étoiles galactiques,celles qui dévorent l’âme et la chair,s’écorchant aux délires des écueils, et noyée dans les nuées rosacées, elle a étendue ses ailes sombres pour en couvrir leurs insolents éclats…Ivre de métaphysique et de théorèmes impossibles,car l’impassible n’est pas sa demeure,alors croisant un navire, elle songe dans ses voyages de voyante à toutes ces écumes ,ces brouillards , ces rameurs fous dans cette galère de la vie et elle interroge très haut ce qui ne se dit que très bas quelquefois…aux heures impropices des aveux,ceux qu’on tait par décence et aussi par ce qu’il est des indécences indicibles…
dans le voyage infini vers le jamais commencé….
Comment faites vous, Sorcière, pour sortir de tels commentaires de votre chapeau, comme par enchantement?
….j’étais l’esprit en éveil ,qui sait?….mais vous savez…
et si vous échouez du côté d’un drakkar nordique et la longue vue vers les cieux, vous saurez que j’ai laissé par là-bas une pensée à Gertrude un rien carnivorienne….