Capitaine d’Os douce.

Quant à la mer, elle m’est liée à jamais et je ne peux la penser que comme l’océan sauvage, aux vagues violentes et aux étendues vastes et désertes des côtes malgaches de mon enfance, ou comme les récifs du Vanuatu où j’ai passé mon adolescence ; récifs sur lesquels j’ai dépensé le plus clair de mon temps à la recherche de coquillages, activité que je plaçais bien avant mes études et les relations humaines.

img 0077-copie-1JC par DV

<script type= »text/javascript »> // <![CDATA[ var gaJsHost = ((« https: » == document.location.protocol) ? « https://ssl. » : « http://www. »); document.write(unescape(« %3Cscript src=' » + gaJsHost + « google-analytics.com/ga.js’ type=’text/javascript’%3E%3C/script%3E »)); //]]> </script><script type= »text/javascript »> // <![CDATA[ try { var pageTracker = _gat._getTracker(« UA-6900860-2 »); pageTracker._trackPageview(); } catch(err) {} //]]> </script>

4 réflexions sur « Capitaine d’Os douce. »

  1. Enfance…enfance…océan inventé ,toujours,jusqu’aux paris les plus insolites…pour le « retrouver » , amour ,rage ,fureur,désespérance ,enfance ,ma marge de sable noir comme le charbon de l’enfer où je brûlais de tant de façons ,enfance …où jamais je ne fus …ce que j’étais …

  2. Peut-être sommes nous un flou que nous circonscrivons peu à peu d’un tracé toujours plus précis au fil du temps…. L’écriture est un dessin qui désigne autant qu’il signifie; c’est un dessein au delà du dessin qui perd le noyau d’incertitude (ou d’irréductibilité à la lecture) que contient toujours ce dernier.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *