Gertrude:
Cinq ans et un mois de web,
cela lui laisse à peine le temps
de se retourner;
juste le temps
de prendre la pose
en cinq temps de pause
entre cinq et sept
sans mouvement.
JC, Gertrude entre cinq et sept, photographies par stenope. Temps de pause: entre cinq et sept heures.
Et comme toujours, de temps en temps:
Des orifices sur la Rose
Mesurer le temps à la chandelle jusqu’à la dernière goutte de cire…
C’est en effet à la chandelle que Gertrude livre le mieux sa lumière.
Que serait-ce avec un candélabre à cinq branches !
Ce serait du LUX!
Cette mort en cinq à sept temps, avec ses obscurités et ses mouvances, est-elle ici ou là? Ou ici et là? Autant que la vie, elle échappe à la réalité… comme le chat de Schrödinger… la fois morte (la noire) et vive (la rose).
Il est vrai que Gertrude joue là en même temps la mort qui fuit et la mort qui attend, mais avec cette longue pause qui inscrit sur la pellicule ce « même temps » des paradoxes crâniques, nous aurons le temps (encore lui) de la voir venir et donc de crâner.
C’est un face-à-face-à-face-à-face-à-face ! Farceuse va !
Face mais pas bouc.
Là j’avoue que je reste coite.
Là également, je reste coite.
Voyons… Pouvez vous développer et m’exposer plus clairement la problématique de votre propos ainsi que ses liens au sujet Gertrude dans le cadre duquel cet espace commentaires est prévu.
Vous, on peut dire que vous n’avez pas besoin de vous retourner les ongles de pieds pour avoir l’esprit tordu.
Pourtant la bacchante ça tient chaud l’hiver. Tous des bureaucrates!
Faites donc, Gertrude lève son vers à votre santé.
Ma grand-mère aurait dit que dans cette étagère ça commence à sentir « l’estouffi ».
On dirait de l’accro no photographie.
l’amertume en merde
» La mer tu m’emmerdes
l’amer tue en merde
l’amer tue ment merde
la mer tu mens merde
l’amertume m’emmerde
la Mère Tume m’emmerde
Là mais tu m’emmerde Calypso ! »
Disait Ulysseaprès un coït de trop
avec la nymphe.
C’est pourtant simple ! Cinq et cinq font dix et dix moins trois égale sept et sept ans aux côtés de Calypso alors que vous voulez être ailleurs voilà de quoi vous foutre un mal de crâne de première en prenant la pose et en attendant de se retourner.
tordu…
Sachez Madame, qu’avant l’invasion romaine, les gars du pays se marchaient sur les moustaches et chantaient des chansons paillardes avant d’aller chercher les boeufs aux prés.
Ces usages régionaux furent interdits par les latinistes et maintenant on est tordu dans le coin.
Votre remarque me donne envie d’écouter un vieil album de The Smiths et de boire un petit verre de porto rouge.
On la sent tendue, la pauvre Gertrude, plantée là pendant plus de 5 heures à pauser, sans même respirer !