Chronométrage n°61, de quoi se retourner dans son étagère


 

Gertrude:

Cinq ans et un mois de web,

cela lui laisse à peine le temps

de se retourner;

juste le temps

de prendre la pose

en cinq temps de pause

entre cinq et sept

sans mouvement.

 

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JC, Gertrude entre cinq et sept
photographies par stenope.
Temps de pause: entre cinq et sept heures.

 


 

Et comme toujours, de temps en temps:

Des orifices sur la Rose

Des trous noirs sur la Noire

22 réflexions sur « Chronométrage n°61, de quoi se retourner dans son étagère »

  1. Cette mort en cinq à sept temps, avec ses obscurités et ses mouvances, est-elle ici ou là? Ou ici et là? Autant que la vie, elle échappe à la réalité… comme le chat de Schrödinger… la fois morte (la noire) et vive (la rose).

  2. Il est vrai que Gertrude joue là en même temps la mort qui fuit et la mort qui attend, mais avec cette longue pause qui inscrit sur la pellicule ce « même temps » des paradoxes crâniques, nous aurons le temps (encore lui) de la voir venir et donc de crâner.

  3. Voyons… Pouvez vous développer et m’exposer plus clairement la problématique de votre propos ainsi que ses liens au sujet Gertrude dans le cadre duquel cet espace commentaires est prévu.

  4. l’amertume en merde

     » La mer tu m’emmerdes

    l’amer tue en merde

    l’amer tue ment merde

    la mer tu mens merde

    l’amertume m’emmerde

    la Mère Tume m’emmerde

    Là mais tu m’emmerde Calypso ! »

    Disait Ulysseaprès un coït de trop

    avec la nymphe.

     

  5. C’est pourtant simple ! Cinq et cinq font dix et dix moins trois égale sept et sept ans aux côtés de Calypso alors que vous voulez être ailleurs voilà de quoi vous foutre un mal de crâne de première en prenant la pose et en attendant de se retourner.

  6. tordu…

    Sachez Madame, qu’avant l’invasion romaine, les gars du pays se marchaient sur les moustaches et chantaient des chansons paillardes avant d’aller chercher les boeufs aux prés.

    Ces usages régionaux furent interdits par les latinistes et maintenant on est tordu dans le coin. 

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