Oula, vous me sortez là les grandes références et le grand Je du lard, cher Vincent!
J’ai vu que votre espace virtuel était en reconstruction; j’ai cru un moment que vous aviez viré les crânes de votre placard! J’attends avec impatience la fin des travaux, car même si je m’exprime de moins en moins je me promène encore!
Ma foi, j’hésite : Gertrude…, Botticelli… Mais peut-être quand même que la fraîcheur de la naissance d’une déesse…
Oula, vous me sortez là les grandes références et le grand Je du lard, cher Vincent!
J’ai vu que votre espace virtuel était en reconstruction; j’ai cru un moment que vous aviez viré les crânes de votre placard! J’attends avec impatience la fin des travaux, car même si je m’exprime de moins en moins je me promène encore!
Merci, mais les collisions entre os et nacres sont inévitables en cette saison.
Les coquillages de Gertrude quand elle caresse le sable de ses rêves et joue du pinceau…
Parfois les coquillages m’inspirent…
Est-ce que ce sont les coquillages qui murmurent à votre oreille ou est-ce vous qui leur murmurez des secrets?….
Les coquillages murmurent beaucoup plus que moi.
Vous mugissez comme les vagues ?
Meuuuuuuhhhhhhhh!!!!!!!!!
J’ai toujours mes petites Gertrude en chocolat !
Berk! Elles doivent être légèrement périmées!
Coques et crânes : rencontre inévitable et ô combien réussie.