Gertrude et le masque de chair

 

 

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JC,

Les masques de chair, papier journal colle, empreintes du crâne de Gertrude,

dimensions variables.

 

 

Le Capitaine tente la reconstruction faciale:

 Gertrude monte en chair

depuis quatre ans et dix mois.

 

 

Gertrude n’en montre rien et Gertrude Rose sauve les apparences

 

 

 

21 réflexions sur « Gertrude et le masque de chair »

  1. vous avez peur qu’ils viennent tapisser vos murs ??? Yen a un qui décolle pendant que l’autre ….éh!éh!

    ( Je n’ai pas la grande forme ce soir, le mouchoir à la main, la gorge qui crôasse …)

  2. Je ne sais ce que je fais réellement de ces petits papiers, nettement moins rassurants que des coquilles lumineuses; est-ce que je travaille la visibilité ou l’invisibilité de Gertrude;, et je n’ai pas fini de lui enduire l’os de toutes sortes de substances pour lui donner un peu d’épaisseur et de l’art, et oublier le vide sidéral qui enfle à chaque passage de bandelette.

    Mais cela fait longtemps que vous n’avez pas visité Gertrude et ses vicissitudes cosmétiques sur Gertrude, Gertrude rose ou même Clémence, qui sait… edurtreG, elle, parfois n’en sait que dire.

    Mais respirer les embruns est autrement plus vivfiant que les appâts rances de ce vieil os!

  3. Mon intention n’était pas, chère Marguerite de pointer ou comptabiliser quelque absence ou présence de votre part en ces courants d’air virtuels et vains! Je vous signalais juste que, comme à son habitude, Gertrude se manifestait en trois endroits voire plus en même temps, histoire de remâcher ou ruminer la même mixture mais sous plusieurs angles. À quoi bon, me direz-vous… À rien, je vous rassure!

  4. Après avoir pérégriné de musées en musées et m’être fait dédicacé un livre bien vain, « Le Vin pour ceux qui n’y connaissent rien » de miss Glouglou (l’hébergeuse de l’affreux Jojo, un cousin de Gertrude…), alias Ophélie Neiman, j’arrive, j’arrive…

  5. Chair os, le papier vous va si bien! Cela vous colle à la peau et vous va comme un gant. Une élégance de plus façon Gertrude invisible sous ses bandelettes.

    J’ai pensé à vous ces derniers jours en collectant sur le sable coquilles et coquillages. La prochaine fois que j’irai au pays des embruns,  je penserai à ramasser aussi des petits papiers afn que vous en fassiez bon usage. 

  6. Mon silence et mon absence bloggeuse n’étaient en rien liées aux activités gertrudiennes mais bien plutôt aux miens engagements, abondants ces temps-ci et grignoteurs de temps. Il m’est arrivé, parfois, d’avoir le sentiment d’un retour dans le passé si proche, si riche mais  si pesant parfois. Je pense que je suis à nouveau arrimée à  ma bouée vagabonde, botanique et collectionneuse de gertrude in progress.

     

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