Gertrude’s fever.


La température monte
La planète brule
Les glaciers fondent
Les océans bouillent
Les coquillages meurent
Mais

Gertrude reste froide malgré sa fièvre

JC, juin 2025, Gertrudomètre: Gertrude’s fever, photographie numérique, thermomètres, sparadrap,
« Souvenir de l’île d’Oléron » acheté dans une brocante, 21 x 37 cm.
Mise en scène réalisée un jour de canicule, photographie « filtrée » en couleurs chaudes.

Cela fait dix-sept ans et six mois
que Gertrude fait froidement son chaud.

8 réflexions sur « Gertrude’s fever. »

  1. Ce véritable brûlot me glace le sang et met le feu aux poudres de ma conscience bouillonnante en remplissant froidement mon crâne avec la planète en surchauffe. Je brûle d’aller piquer une tête pour me rafraîchir les idées. Bonjour à Gertrude la bienheureuse !

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