La température monte
La planète brule
Les glaciers fondent
Les océans bouillent
Les coquillages meurent
Mais
Gertrude reste froide malgré sa fièvre
JC, juin 2025, Gertrudomètre: Gertrude’s fever, photographie numérique, thermomètres, sparadrap,
« Souvenir de l’île d’Oléron » acheté dans une brocante, 21 x 37 cm.
Mise en scène réalisée un jour de canicule, photographie « filtrée » en couleurs chaudes.
Cela fait dix-sept ans et six mois
que Gertrude fait froidement son chaud.
Cake alors !
Vous avez bien raison! On pourrait cuire un noeuf, cuire un boeuf, crâmer un nonosse ou un cake dans ce four castafiorifique!
Ce véritable brûlot me glace le sang et met le feu aux poudres de ma conscience bouillonnante en remplissant froidement mon crâne avec la planète en surchauffe. Je brûle d’aller piquer une tête pour me rafraîchir les idées. Bonjour à Gertrude la bienheureuse !
Et ce n’est pas l’Os séant qui va vous sauver…
Ce chauffe m’harcelle !
Tout de suite ça jette un froid et Marcel n’y est pour rien.
Les océans bouillent deux clowns !
S’il n’y en avait que deux.. Mais ils sont bien vain!