Ou Gertrude s’aime à tout vain
Semer en vain
s’aimer en vain
La Crâneuse a gravé, découpé, imprimé, séché et semé ses petites piécettes en carton sans ambition particulière, sans se soucier ni du passé, ni de l’avenir, juste avec ce petit grain de vanité qui la fait marcher… en vain.
Et puis un jour, au gré de ses semailles solitaires, alors qu’elle s’ennuyait un peu, elle a créé un événement sur un réseau social bien connu (Fesse de Bouc pour pas le nommer où elle a quand m’aime une petite centaine « d’amis »). C’était l’événement le plus simple qu’il soit, un événement qui ne coûtait rien et qui ne nécessitait aucun déplacement ou investissement, si ce n’était de confier (en privé) son adresse postale à la Crâneuse qui n’avait d’autres intentions que celle de l’utiliser, non pour en faire commerce, mais pour envoyer en retour un petit lot de piécettes estampillées G accompagné d’une jolie carte faite main. Il se trouve que le succès de l’événement dépassa de loin les modestes prévisions de la Crâneuse et que les nombreux amis FB ou autres, inscrits et participants, non contents de faire de la publicité gratuite au crâne le plus décalé du Web, firent également preuve d’une créativité réjouissante. C’est pourquoi, aujourd’hui, Gertrude Rose et Gertrude Noire ont décidé de célébrer ce foisonnement artistique en vous livrant les clichés de leurs performances crâneuses.
Graver, imprimer, découper, sécher…
Arpenter, semer, photographier…
Emballer, envoyer…
Ainsi, après avoir suivi les pas de Juliette dans le blog de Gertrude, vous pourrez découvrir G côté cour et côté jardin chez Gertrude Rose, et accompagner ses voyages sur Gertrude Noire…
Et ce n’est pas fini… car très bientôt sur le Triblog vous découvrirez les créations spéciales et magnifiques de très chairs amies du Crâne : le carnet rouge de mfd la Mercière ambulante, glaneuse, récolteuse et semeuse et les pérégrinations littéraires de la facétieuse Céline H.
(À suivre)
Si je comprends, ce sera bientôt La (Bonne) Samaritaine qui, crânement, va semer à tout vent… Attention à la Rousse, BCRC (Brigade Contre le Recel des Crânes)…
Quel boulOs et quelle mise en oeuvre, mon cher Os ! Vous avez vraiment de quoi Crâner !
C’est très réjouissant d’être associé à votre projet de s’aimer Gertrude à tous vains.
Oui, en effet, c’est vain de s’aimer ! Signé 20/100, un vieux marchand de vain.
J’ai appris l’art de faire d’un petit rien, une grande chose : un grand RIEN.
Publicité gratuite pour mon blogue. Merci.
Merci Chère Mercière, tout cela grâce à vous; en témoignent Gertrude Rose et Gertrude Noire! Et cela n’est pas fini!
Cher Vincent, je vois que vous copiez Juliette: vous vous êtes fabriqué un double à qui parler, Monsieur Luc Surgelé pour pas le nommer.
Monsieur Luc Surgelé, comme vous dites, n’est pas mon double, c’est mon triple, qui m’échappe. Il mène, bien heureusement, sa vie comme il l’entend. Nous zussions pu partager, successivement, et crânement, un même lieu… mais l’Administration en a décidé autrement. Bien sûr, nous avons une vraie connivence, pas idiote d’ailleurs. Ne cherchez pas à comprendre, bêtement…
Fichtre! Triple! Me voici partagée devant cette duplicité! Mais je n’irai pas par quatre chemins pour vous dire que cette fois-ci je ne couperai pas les cheveux en quatre…
Je ne vous imposerai pas une ‘Triplette de Belleville’ (Oh, le salopiaud !) Celles, portugaises, de l’esplanade des Invalides me suffisent, qui m’envoient bouler les boules sur les pieds quand je vais alexandriner sur le pont voisin. Vous voyez, nous ne sommes pas des mêmes quartiers (de noblesse). Alors, baste, f…dieu !
Je vide mon tronc, pas la moindre pièce, même pas une petite obole, pourtant j’en connais qui les fabrique pour pas cher,enfin, bref , je trouve quand même un billet, qui entre parenthèse coûte pas un kopeck ,et poutant le kopeck coûte vraiment pas cher en ce moment, enfin bref, je voulais vous dire que c’ billet n’ était pas un billet d’ un rouble mais un mot, enfin bref, un mot pour me dire de venir ici, un truc comme graine de vain à semer, nouveau je ne sais quoi, enfin bref, j’arrive. d’abord j’trouve pas la bonne adresse, j’me rtrouve dans l’noir, pasque j’iété la dernière fois, enfin bref, j’finis par trouver puisque j’suis là .ouf. Non d’ une pipe en os, j’me fais insulté , on m’ traite de surgelé. mais m’tiotes vous devo savoaire qu’esche suis PICARD, pas ed seuche mercantil’ merchan mais deuch PICARDIE, ichi tou el mond’ é cause comme cha, to conno pas Dany Boon? ilé d’ Armentières, mé le chti c’éto du picar! on a s’même parlé, Alors, y en a qui so , ein, Vincznt, li, imm cono bin, mé comme j’suis ici à Panam, et bien je parle comme les parisiens BCBG, BOBO comme on dit pour faire moderme et j’y arrive!!Dommage qu’ici c’ est un peu cinglé, mais , même les bouseux ont de l’ humour, et si mon copain est là, c’est que ça ne doit pas être si mal, alors le décongelé va continuer à délirer avec vous.C’est pas de bon cœur, boule d’os,mais te fais quand même un bisou et j’vais m’laver les dents après.
JE NE SUIS PAS VINCENT
JE SUIS MOI
M – – – – ! alors !
Ah, Bon?
Ah! ça c’est de l’humour vache!
Chacun ses références (je réponds au com écrit en picard).
Non pas de rose, j’suis miso
pardon mis os
Pfffffffff……
Dommage, vous pourriez y suivre les pérégrinations d’une petite rondelle de carton avec un peu d’encre dessus.
Pour la Rose tapez Gertrude rose et pour la Noire tapez Gertrude noire
J’ te r’tiens boule d’os, j’t’avais dit que j’voulais pas y aller dans le rose ,elle m’a poussé dans le bénitier, j’ai failli m’y noyer, j’vais regarder un peu les images, pour le coup de croix reçu, un peu d’eau bénite ma fois ça devrait aller, pourvu que ça me mette pas à côté de toi, passeque maintenant que je sais, ça lui plairait p’être une deuXième boule d’os .Faux faire gaff dis donc!.
C’est bien.
Vain sur vain! ?
C’est cela… oui…
Gertrude n’a jamais encore voyager dans un tel vaisseau virtuel, mais aux commandes pas mal de terriens bel et bien réels !
Ou comment il est possible de voyager totalement immobile!
Mais les petites rondelles en cartons, elles, ont réellement voyagé.
Gertrude s’arrange bien de la vie et de ses commodités !
On fait ce qu’on peut quand on est mort.
C’est le triomphe de la mort ,très réussi !!!
C’est la vie!
Qui s’aime le vain récolte un p’tit nouveau !
Lustucru? Qu’on aurait un petit nouveau sept ans et presque deux mois après?
Un brin de nostalgie…
Ha ! Ha! Ha!