en métaphores
pour mon équipage.
vous présente son équipage.
Dans l’ordre de leurs apparitions miraculeuses,
vous trouverez :
– Le Krapo marécageux
– Le Néologue
– Le Misérable
– Le Maestro
– La Sorcière des plumes
– Le facétieux Érudit
– La Plaie ambulante
– Le Cuisinier fantastique
Autrement dit
– Le Batracien pas hideux
– L’Ermite dans sa cellule
– Le Botaniste éminent
– Le Romantique Nervalien
– La Magicienne des Carrefours
– L’Amateur de rillettes
– Le Dada pléthorique
– Le Chasseur d’escargots de l’espace aux semelles de crêpe
Autrement dit
– L’Intermittent de la Mare au Diable
– Le Cosaque venu de Yuste
– Le Compteur de jours déplorables
– Le Mélomane Barthélémieux
– La Poétesse des sortilèges
– Le brillant Écrivain public
– Le Frère de Marcel
– Le Rabaitineur
Autrement dit
– Le Sectateur des canards
– Le G.O. du Club des faux-pas
– Le Nombriliste ovoïdal
– Le Chanteur de lieds
– La Gardienne des corbeaux magiques
– L’espiègle Taoïste
– L’Idéaliste saignant
– Pedrito G. de Ker Malo
Autrement dit
– Le Mage d’image en mare
– Le Gymnaste des dictionnaires
– Le Cultivateur de cactus
– Le Gardien d’Elanthia
– La Maîtresse du Chaos
– Le Joueur de mots
– La Chair de nos os
– Le fast Bloogueur
Autrement dit
– Le Philosophe en nos troubles
– Le Dada du proverbe négatif
– L’Alexandrin d’Alexandrine
– Le Passeur des amours spatiotemporelles
– L’Extralucide des jardins secrets
– L’Alpiniste du Plomb et des mesures
– Le Somptueux Habit des maux
– Le Maître Low pas Slow
Autrement dit
– Le Poète pointilleux en pointillés
– Le Gourdonneur pas plumé
– Le Chroniqueur du Mimile
– L’Enchanteur imprévisible
– La Fée aux mains baguées
– Le jardinier des épices en balcon
– L’Éveilleur des esprits Tortues
– Le Romancier turbo-téléporté
Autrement dit
– Le petit Frère enkargulé
– Le Sérial Sentenceur
– Le Conservateur de la Misère très cultivée
– Le rêveur de nos monts et merveilles
– La Tisseuse de Fil d’Archal
– Le Décolleur des Pignons décalés
– La généreuse Ortie de nos révoltes
– Le Fax de Meuldor et Cie
Autrement dit
– Léon, frère de Gudule
– Le Producteur de cerises à la poudre de volcans
– Le brillant Malchanceux
– Le Voyageur des parallèles
– La Belle Ténébreuse des cimetières
– Le Sérieux Excentrique
– L’Accoucheur de nos pensées souffrantes
– Le Bruiteur d’Univers
Mon Deuxième est un Batracien Philosophe qui a le cœur en Bataille et l’âme Nietzschéenne. Il élève des canards improbables dans les eaux troubles de ses marécages cultivés. Sérial Blogueur et brillant poète en pointillisme pointilleux par pointillés, il attend les 999 cygnes du Destin, faisant preuve d’une incroyable présence dans l’inquiétude de ses absences. Ne manquez pas de vous faire prendre au piège de ses miroirs sombres ici et là.
Mon Troisième est un Néologue inventeur de langue et tueur de blogs. Passé Maître dans l’art de la flibusterie, ce Cosaque est passé de barque en barque, multipliant armes et pseudos à l’assaut des Académies et autres élevages de poussière. Après une longue retraite en compagnie de Saint Jérôme et de Charles Quint, il a créé une association de malfaiteurs afin de jeter par-dessus bord quelques centaines de sentences négatives à la morale douteuse ; il revient à présent aux affaires dans une entreprise hors norme de réécriture du Dictionnaire. Si vous ne voulez pas terminer dans le goudron et les plumes, affrontez son œil cruel et devenez un vrai Cultufion ici.
Mon Quatrième est un Misérable qui traîne son pitoyable quotidien le long d’un anecdotique lamentable. Botaniste émérite, il cultive un Cactus et reste le chef de file incontesté et talentueux du Mouvement Nombriliste Ovoïdal dont votre Capitaine est le minable suiveur. Mais ne vous fiez pas à son apparente vulnérabilité: Amoureux fou et désespéré de l’insensible Alexandrine, il est capable de tout y compris écouter 4’33’’ de John Cage dans sa baignoire. Vous pouvez toujours aller le plaindre (à vos risques et péril) ici.
Mon Cinquième est le plus Romantique Maestro de l’équipage. Romancier enchanteur, les roses trémières éclosent sous ses pas nervaliens et les notes de Schubert s’égrènent dans le bleu du crépuscule ; il nous invite à suivre Barthélemy au seuil des portes du temps et à nous perdre dans les contrées féeriques à la poursuite de la princesse Elanthia. Reviendrons-nous de ce voyage à jamais inachevé où l’ombre d’un mage au vol arrêté se reflète dans les étoiles semées ça et là.
Mon Sixième est une Magicienne des Carrefours. Sorcière flibustière aux pouvoirs incommensurables, elle a capturé un crâne dans les rets de ses mille sortilèges. Poétesse enchanteresse, elle perce de son œil voyant le moindre repli de nos âmes et soumet sans pitié la chair de nos émotions aux serres de ses cruels corbeaux. Rien ne résiste aux philtres enivrants de son verbe merveilleux et il est inutile de lutter contre le magnétisme puissant de son Fil d’Archal. Abandonnez-vous à ses suaves mains baguées et caressantes ici.
Mon Septième est un Écrivain, infatigable et facétieux joueur de mots, bon vivant arpenteur des marchés roquettiens, cultivateur des saveurs épicées à l’atmosphère de capitale. Son terrain de culture est bien plus grand que le jardin de mon oncle, mais ses sentiers mènent tous à une Rome antique, puit insondable de sciences où l’art des rillettes sommeille à l’ombre des estampes japonaises. Si vous ne voulez pas mourir idiot, perdez vous dans ce labyrinthe d’érudition ; l’entrée est ici.
Mon Huitième est un Dada Pléthorique et délicieux qui vient nous fouailler l’âme et la chair de l’arme absolue de sa merveilleuse écriture, et réveiller la plaie ouverte de nos révoltes essentielles. Frère de Marcel, mon bien-aimé, maître de Robert la tortue carnivore (qui entretient nos tortures intérieures), ce génial navigateur est accroché en haut du mât et saura guider le vaisseau dans les aventures les plus folles et les plus imprévisibles. Le Capitaine n’aurait pu continuer la traversée des Fleuves impassibles sans l’aide de ce Prince du Royaume Cyber à la générosité sans limites. Vous trouverez toutes les infos ici.
Mon Neuvième est le dernier moussaillon monté à bord. Arrivé tout droit d’un Univers bruyant aux hautes technologies pataphysiques, ce grand Chef étoilé cuisine en une heure chrono les mets les plus rares et les plus truculents de l’histoire de la cyber-restauration rapide. Il est capable en temps record de livrer à travers l’espace des semelles de crêpes pur beurre et encore chaudes, de faire pousser des arbres à cames, de combattre des escargots aliens en résolvant les mystères de l’hypoténuse en prime. Vous pouvez passer commande (tout est possible) et savourer les plats ici et là.
Hedgarallaan
Mon amoureux transi de l’espace,
enfin je vous ai trouvé!
Je vous aime.
Le vaisseau de mon Défunt Amoureux:
www.plaiethore.com
Gertrude n’existe que dans l’épaisseur illusionniste des conversations virtuelles et les strates de courants d’air émotionnels que ces dernières génèrent.Gertrude se nourrit de ce contenu immatériel qui n’a strictement rien à voir avec la réalité des personnes qui se connectent à son site.Les termes et qualificatifs employés ne sont que les scories poétiques projetées par ces semblants sans consistance, les liens sont les fils ténus de rêveries d’amitiés illusoires. Gertrude a laissé çà et là sur son passage une image aussi irréelle que sa vie oubliée et les mots de ses sentiments impossibles accrochés aux photons hallucinatoires de vos sites.
Ainsi se constitue sa mémoire dérisoire et défunte qui peut voler en éclats sous un seul clic de votre souris.
Ce rien par lequel elle est, mais qui est déjà sa perte ;
Merci.
où met-on le cap Commandant ?
où met-on le couvert Commandant ?
où met-on les pieds Commandant ?
ou mettons que je n’ai rien dit…
Je vous aime Gertrude !
Embarquez-moi sur votre Rafiot, je vous en prie !
Votre très dévoué,
Hedgarallaan
Et voilà que notre Capitaine nous rend hommage avec force « d’autrement » dit si joliment dits !
Je connais plusieurs membres de cette folle embarcation, The Low pitancier, Maître Krapo sur ma toile perché, le Néolotionnaire zygomatraqueur, la Magicienne aux doigts effilés comme le bec de ces corbeaux ;
mais pour sûr il faudra que je me dépoulpe quelque peu du haut de « mon » mât afin de bisouiller grave ceux que je n’ai encore jamais rencontré…
L’ont bien cherché aussi hein !
Que la terre me semble lointaine et combien je me sens bien l’esprit ainsi déboussolé sous vos non-ordres.
Continuez ma Capitaine à fournir à mon esprit ma poudre d’os à sniffer !
Bien à vous.
Je t’en ficherai, Capitaine, de la Rome antique ! La mienne n’est ni antique, ni surtout ultra-montaine… et sa saveur italienne privilégie plutôt son habituelle situation Assise. Quant au jardin des délices roquettien, voilà belle lurette qu’il a émancipé ses simples de l’emprise du grand couvent des Quinze-Vingt et qu’il a coupé l’herbe sous le pied – voire, à l’occasion, la tête, en iceux lieux – des bonnes sœurs qui l’occupaient. Les curieux en trouveront une jolie réplique à labourer, un peu plus cap à l’ouest, à l’entour d’une méliesque pagode babylonienne – allons-y, Alonzo ! – (prendre la Bastille, s’emparer de l’Arsenal, passer l’écluse, descendre le cours séquanesque, virage serré à gauche, pied à terre près du bac, faire le point en visant le grand mât de vigie parnassien, remonter vers icelui, s’informer alors auprès de la belle Samaritaine, patronne du lieu-dit, et hardiment cap à l’ouest – on est presque à destination, à un mètre étalon près).
Ceci dit, Capitaine, merci individuellement et collectivement, de l’hommage – une fois n’étant pas dommage, je vous embrasse au nom de l’équipage – et surtout en le mien – sur la casquette, Capitaine – mais, question cruciale délicate et prometteuse, comment affronter et assumer ces cascades d’adjectifs scintillants ? Quant aux rillettes, nous en reparlons s’il vous plaît. Maintenant rhum pour tout le monde… et nervalienne tisane de champagne pour moi !
Je préfèrerais quant à moi des magnums de Champagne, mais sans tisane.
Entre le rhum et les perles champenoises, il nous faut tirer à la courte paille.
Moi, grand amateur de simples en moultes décoctions, champenois de surcroît, j’apprécie cette tisane-là, puisque c’est ainsi que l’on nommait naguère la délicate infusion du bon Dom Pérignon, moine de bon augure. Confidence, j’ai aussi quelque faiblesse, lors de mes séjours angoumois, pour la voisine et fine champagne. Décidément, ces calcaires-là me conviennent à merveille, ils vous conserve des vestiges hors d’âge…
« … ils vous conservent… », diantre !
N’empêche, z’avez vu les mousaillons comment elle nous cligne de l’orbite la charmeuse en Os ?
Quand et où vous voulez, cher Éric; ce vaisseau est à vous.
Après une telle déclaration, vous partagez ma cabine.
Vous êtes juste le Prince de cet équipage, mon cher Plaie Ambulante.
Je reviens et n’en suis pas revenu d’un extraordinaire voyage dans l’espace avec mon Amoureux, La Joconde et une provision de fraises taga-dada.
Encore un énaurme merci!!!
Je vous suggère de déposer une réclamation en trois exemplaire au service qualité du bord et de ne pas déclencher pour si peu une mutinerie au sein de mon équipage.
Où est le mousse?
Il faut bien quelques amuse-gueules…
Un peu de ratafia, ça va vous calmer…
Dans un tonnelet, je vous y vois…
Vous avez vu le résultat?
Embarquement immédiat !
Jamais je ne vous décevrai ; les mondes parallèles sont mes domaines et j’ai des sacs emplis de fraises taga-dada que j’emporte avec moi (au cas où notre chef Low nous cuisinerait de gluants cornus aux pieds flasques).
Je m’empresse également de donner mon consentement au partage de votre cabine !
Ah ! Si Marcel savait cela…
Ah mon Transi, Marcel de l’Infini, si vous avez les fraises Taga-DADA, vous avez indéfectiblement Gertrude!
Je m’en vais de ce pas commander quelques secrets de beauté pour os à notre Chef et ami Éric.
Je vois ma Chère Capitaine.
Vous avez choisi la photographie d’Hedgarallaan que je préfère, celle où il se découvre pour vous et où il vous dit que sans pieds marins, il saura bien naviguer dans sa tête. à vos côtés et aux côtés des autres fous de l’espace.
Champagne que diable !
http://www.youtube.com/watch?v=SCw201tKUDY
Splendide ! Un autre de mes frères qui chante cette lune rousse que je prie sur les rotules décharnées de ne jamais lâcher mes trousses…
Merci de ce plongeon en marécage d’esprits jamais asservis.
Je savais que vous ne pouviez que connaitre et apprécier.
C’est dans l’ordre des choses.
Oh ! Mais vous m’offrez un vaisseau !
J’en ai les rames toutes brinquebalantes.
Viendez ma Capitaine jouer…
J’espère bien que vous chaviriez, que je vienne vous sauver.
GLOU GLOU GLOU °°°°°°°° °°°° °° °
Là vous l’avez fait exprès, c’est pas du jeu…
C’est vous qui m’avez mis le crâne presque sous l’eau tout de même 🙂
Bon revenons à notre clou qui n’est pas un clou…
Vous y êtes presque ; d’ailleurs à un certain moment vous avez écrit les 4 premières lettres du nom donné à l’ustensile plus que vaseux.
C’est pour pêcher les vers arénicoles?
Les verres vinicoles plutôt.
J’ai mal au ventre.
Tout excés de vers ou de verres sa verre mauvais et ça vert mauvais.
Belle soirée et de beaux vers pour vous.
A demain sur le pont !
Belle soirée à vous et merci de ce délicieux voyage sidéral et sidéré.
Gertrude…je viens de laisser s’évanouir l’immense commentaire que j’approchais d’achever…Hop!………………….volatilisé!
Je ne sais si je referais..si je pourrais…Ma légendair e maladresse!
votre Hécate…défaite!
Je vois la rémanence de son fantôme et sens le parfum de ses brumes car je savais que vous me prépariez quelque chose de gigantesque, Sorcière!
Merci! Merci!
Je sais de quoi vous êtes capable.
seulement c’est tombé à l’eau!!!!alors……………..Plaiethore me remplacera ,il est moins maladroit et merveilleux poète!
Un hommage bien légitime, moussaillon!
Un crâne aurait-il réussi à vous zémouvoir?
Voila qui est magistralement et potagèrement bien envoyé, Armengol Dada!
Gertrude me revoilà!…Jusqu’où?…on verra si je me noie deux fois!
Cinq croix autour du cou,de forme templière et assorties d’une pierre bleue comme mes ongles!…une étoile à l’oreille!
Parée? on y va! vers ces confins du Monde sur ce bateau où viennent ricocher les rumeurs et s’arrimer les rameurs qui errent par les nuits et les jours , quichevauchent ilassablement les territoires de Vie aux frontières de Mort!…
Le chaos initial, le point noir en théorème posé sur un siècle révolu( voir J.DEE) du côté du marécage de verte lumière glauque où coassent les crapauds et un Hermite…nu Sieur Hideux…
…et par-delà…un Cardinal pourpre répond de loin comme un écho de plaie encore ouverte
La Pestilence,la Peste noire,et la Peste rouge rôdèrent…
Lautréamont se réjouissant de ces poulpes ,comme une pieuvre femelle machiavélique ,d’un doigt osseux sur un piano funèbre et grèle, ricanant des mots de cemonde au bord du charnier,rillette detous les olobrius jetés dans l’athanor d’un geai farceur et rare qui ne rie guère de tout un charivari qui guillotinne la Beauté au col trop faible et trop pâle pour vivre dans les limbes idéalisées d’un sentiment hors du Temps….
Un érudit qui passait…s’amusait dans un faux col compassé de rires pincés ,comme il sied à l’humour qui sait se tenir amidonné de mode et de maintien,amateur de flan aussi…Curieux?…bah!….
Les escargots par gargots entiers se dégustant vivants avec des piques d’os acérés!….
Entaille d’entailleur ,un faiseur de mots jette un crucifix retorné comme un gant, une poignée d’os shamaniques à vos pieds,déjouant sortilèges et envoutements pour s’en draper d’une toge de feuilles piquantes et ,énamouré d’un crâne planté de plumes magiques où la moelle vive des corvidés est plus agissante qu’une potion de révélation!…
Il fallait avant un Maestro du Bröcken qui vint jouer et chanter ses voyages d’Hiver,ses vers d’Heine déclinés en partition de tendresse nostalgique,et conter ses histoires d »amour malheureuses.
Le rideau est tombé.
Une larme aussi..cristalisée dans le souvenird’une note blème sur les sphères de la Vie qui passe…le temps de croiser une Magicienne étrange, bardée d’étoiles, de figures géométrique,de bagues signifiante ,de gestes,de silence où s’ornant de cournne de mots que lui souffle nt sescomplices nours,ces alliés de Barberousse d’Allemagne…On pense à lui…au Maestro…
Lautréamont n’est point mort,il dévide ses chants ,et la Parque dévide le fil de l’équilibre,entre horloge de vie,et sablier du trépas!
L’horloge frappe de plein fouet le Minuit,cioffée de serpents empruntés à Méduse, médusant comme Hécate avec force amusements pathétiques ,ces tares d’humaine nature,pauvre humanité perdue!….
Dompteuse d’oracles,guérisseuse d’âme et connaissant les poisons de la violette si modeste,telle est cette sorcière ici nommée…
Gertrude, vous saviez que Montherlant le plus misogyne qui soit a écrit la plus belle histoire d’amour?
oui,celle d’une reine morte, Inès de Castro de Portugal, celle qu’on appelait Col de Cygne et qui ne fut épousée d’amour que dans la Mort, ce lieu d’Eternité où ne meurt pas l’amour,la vie etenelle des amants est la Mort!…
Le signe d’Hécate est un cygne,et le cygne dans l’Histoire est le H…d’Hécate…comme le H d’hécatombe!….
Il y a encore à écrire,maisje ne sais plus…à cette heure les yeux me brûlent d’avoit tant chercher à retouver le fil essentiel…demain je verrais à conclure…
Bien à vous capitaine et bien à votre équipage aussi
votre Magicienne Hécate
Merci,
Sorcière des plumes diaphanes
Magicienne des douces écorchures
Voyante de nos rêves les plus fous
Extralucide de nos âmes perdues
Princesse de l’ombre impénétrable
Reine des merveilles et des cimetières
Déesse gothique de nos cieux obscurs
Fée des corbeaux d’encre
Enchanteresse des forêts fantastiques
Chiromancienne de notre peau saignante
Dompteuse d’os décomposés
Maîtresse des sortilèges fulgurants
Medium des souterrains macabres
Spectre lumineux de nos tombes
Sœur magnanime de nos pensées
Déité des tempêtes indomptables
Arracheuse de ténèbres
Mangeuse de crâne désespéré
Devineresse cruelle de nos pensées enfouies
Éveilleuse de cœur sec
Poétesse incantatoire des démesures
Tragédienne ailée de nos sentiments,
Vous soufflez des plumes sur mon cœur lourd.
Sublime éloge ,ébouissante éloquence que la vôtre ,il me fallait bien tenter de rassembler mes lambeaux pour vous lire en retour, à l’ombre de mes rémiges noires un battement de mon coeur pour vous..Votre H.
Johohoe! Johohohoe!
Hojohohoe! Hoe! Hoe! Hoe!
Huissa!
Nach dem Land treibt der Sturm, –
Huissa!
Segel ein! Anker los!
Huissa!
In die Bucht laufet ein!
Schwarzer Hauptmann, geh ans Land!
Sieben Jahre sind vorbei!
Frei’ um blonden Mädchens Hand!
Blondes Mädchen, sie ihm treu!
Lustig heut, hui!
Bräutigam! Hui!
Sturmwind heult Brautmusik, Ozean tanzt dazu! –
Hui! Horch, er pfeift!
Kapitän! Bist wieder da?
Hui! Segel auf!
Deine Braut – sag, wo sie blieb?
Hui! Auf, in See! –
Kapitän! Kapitän! hast kein Glück in der Lieb’!
Hahaha!
Sause, Sturmwind, heule zu!
Unsern Sgeln lässt du Ruh!
Satan hat sie uns gefeit, –
reissen nicht in Ewigkeit, –
hohoe! Hoe! Nicht in Ewigkeit!
Peregrinus, bien que je ne comprenne goutte à cet Océan de sonorités, c’est bien comme cela que je vois le vaisseau Gertrude pris dans la sublime tempête de vos commentaires fabuleux.
Merci à vous.
Sublime hommage cher Peregrinus, voyez comme on pense à vous avec bien de la nostalgie accrochée au cabestan!…Et sur le vaisseau ,c’est vous le fantôme qui effleurez l’équipage en deuil de votre présence…
Bien à vous Maestro!
Hécate de la nuit de Walpurgis
Gertrude embarque ses commentateurs dans son drakkar virtuel, convie ces farouches garçons et filles à plus de civilité, pour ensemble trouver le Walhalla .
Preums, pour souffler dans le corps résonnant…
Bien à vous Gertrude et félicitation pour votre travail (qui a dû vous prendre pas mal de temps mine de rien. L’addiction vous guette.)
Il s’agit chère Capitaine d’un texte Wagnérien du « Hollandais volant » si je ne m’abuse, autrement dit le » vaisseau fontôme ».
Merci à vous de ce lien hilarant et Walhallesque: c’est une vraie photo de famille sur mon drakkar!
Quant à l’addiction, il n’y a plus rien à faire, docteur Émile!
Cliquez sur le lien au dessus de la magnifique image envoyée par notre ami.
Mon vaisseau était en galère tout le jour et c’est fourbu que je reviens sur le pont.
Mais c’était sans compter de la superbe de tous ces membres du fol équipage !
[Ô ma Capitaine, le comité des Tiques accepterait-il un nouvel adhérent ?
C’est que vous savez, j’adhère plus que ne le pourrait une tique à la carne d’un vieux chien efflanqué aux propos fort lucides de ce nota bene.]
Hedgarallaan est toujours aussi finement fêlé d’amour pour Gertrude et moi, Plaie de mât je vous salue de mes plus doux sourires.
Vous êtes admis d’office à tous les comités des tiques et d’autres de mon espace car je sais que nos ondes et nos flots sont de même longueur.
Cela permet tous les amours fous avec les crânes de l’espace sans dérapages incontrolés dans la salle des machines.
… Et vous me voyez ravi de cette acceptation 🙂
C’est que voyez-vous, je bourlingue sur la toile depuis déjà quelques temps déjà et j’ai appris à reconnaître les dérapages qui rapent et qui vous flanquent des trampes d’un âge barbare.
Je lustre les machines probablement à la même huile que la vôtre… Et elles brillent ainsi de mille é-toiles bien en suspension dans l’espace.
Bien à vous ma Capitaine et douce soirée-nuitée.
L’aventure de Gertrude est ainsi faite (sciemment) qu’elle mélange intimement séduction, provocation et manipulation de ma part avec une bonne dose d’Éros et Thanatos et que l’on peut s’interroger sur son innocuité; Certains ont pu s’y bruler le bout des ailes y compris moi… dans mon inexpérience du début de ce blog.Il était en fait surement nécessaire que la situation m’échappât pour que cette expérience prenne tout son sens; mais il y a eu quelques dommages collatéraux à mon grand regret.
Je suis sure que vous me comprenez parfaitement et si cela vous tente un jour vous irez lire certains textes comme La vérité en Gertrude où j’explique un peu plus cette démarche ou du moins cette tentative de démarche.
Alors ,Capitaine,où êtes-vous? Dans une crypte avec Hedgarallaan?…à sucer des perles de couronnes mortuaires,à brode des rêves avec des aiguilles d’os?
Voyons Hécate!
sucer des couronnes mortuaires…..
Je n’osais avancer autre chose pour bienséance ,que voulez-vous!
Oh!
Entre squelettes, vous savez ce n’est qu’une histoire …d’ O(s)
Entre squelettes, vous savez ce n’est qu’une histoire …d’ O(s)
Très drÔle!
J’avais compris! Pas besoin de répéter!
ça…c’est une histoire…d’ O (verblog!!!)
🙂
J’ai une question à vous poser Mesdames… Non, parce que moi j’aterris et je me demandais si réellement les perles de couronnes funéraires étaient aphrodisiaques ?
Etant donné qu’un crâne ne possède pas vraiment de sucs à se faire aspirer… J’en ai les ossselets qui se bousculent…
Wouapppps ! C’est que ça glisse drôlement sur le pont aujourd’hui !
Gertrude pardonnez-moi.
Hedgarallann chéri, vous ne faites rien pour calmer la tempête..
Passez moi un cordage que je vous ligote au mat; il n’est pas question que vous tombiez à la mer car vous ne devez pas flotter facilement avec toutes ces voies d’os.
Sache, petit Krapo, que ce sont, malgré les apparences des qualificatifs tout à fait affectueux.
Honneur à toi, merveilleux marin de mare.
Réponse à la question soulevée d’Hedgarallaan :pourquoi les perles de couronnes mortuaires ne seraient-elles pas aphrodysiaques?…Nous sommes là Chez Thanatos,et l’érotisme des morts ne concerne que les interessés,c’est à dire les morts!…….
Je pense que tout le monde est d’accord la-dessus? ( Enfin,la -dessous! Dessous la pierre tombale ).Hécate
C’est du propre!
» Il n’est ni bien ni mal que par notre imagination ».SHAKESPEARE
Il ne manquait plus qu’un Chat qui expire.
GERTRUDE….suivez le guide: Krapo donne la piste,une fois au chat ,lire les commentaires.TOUT Y EST!!!!!!!!!!!( sur le bog cité par crapaud hi hi!!!!
C’est immonde!
Et vous en semblez toute émoustillée…
Eh bin!
Emoustillée?…non.Mais comme vous ,je « Crâne ». Qu’y a-t-il d’autre à faire?…laisser couler l’eau sous les ponts…et naviguer ,comme vous ,Capitaine!…
Merci de m’avoir prise dans votre équipage( je suis le seule du genre dit »féminin » on dirait?)…Votre Hécate
C’est vrai, mais vous êtes la plus futée… Normal.
OuI mais l’Os le plus affûté…cest le vôtre!….
Normal, je suis le seul os, à part Hedgarallaan qui est en os extraterrestre.
D’ailleurs, j’y pense..
Euh, non…
Ce ne serait pas correct…
quoi donc?…ne vous faites pas prier,sinon la petite surprise que j’ai pour vous….
C’est quoi ce chantage?
rien…que voulez-vous dire que vous n’osez pas?
Non vraiment rien, une grosse anerie d’après 22h..
Et cette surprise?
Avez-vous remarqué Hécate, que tout le monde a écrit sous cet article. Sauf un…. Hélas.
Je vais donc pouvoir changer la photo.
Sur ce bonne nuit, chère âme émoustillée à la peau de chat.
une peau de chagrin, c’est le pays de Balzac ,par ici!…Il nous reste les petits mouchoirs de Cholet ( on est dans la chouennerie ou sur un…bateau.
Yen a qu’on perdu leur plume…qui sait..(.Le manque de moyen.)..
Vous saviez qu’un grand roman de Powys ‘Les sables de la mer » était dédié à une GERRTUDE???(…Gertrude Mary Powys)( c’est grâce àun com.d’Eric qui m’a donné envie de rouvrir ce livre!…voilà,je vous dis ça sans attendre! H
et vlan encore une erreur ,j’écorche le nom de GERTRUDE!!!!mille pardons!……………H
Un bien bel hommage à vos marins !
Terra Inconita !
Le cosaque de Yuste…
C’est beau , merci,
l’hispano-flamand des steppes russiques à l’arme à l’oeil
Une certaine justesse dans le propos. Les taïgas et autres steppes avec un renoncement mystique à la Charles de Gand, c’est bien ma tasse de thé, rajoutons une cerise Dada et la citrouille cérébrale est géographiquement en place.
(…à suivre) mon niveau de réactivité et au plus bas, il en a toujours été ainsi, plus ou moins bas, mais toujours vers le bas… En ce sens je mérite tous les qualificatifs et noms d’oiseaux que tu me prêtes. Et même si mes vieilles pattes ne me permettent plus de sauter au plafond, sache que je suis touché. Donc, je me retire, pour l’instant, en attendant mieux (de moi)…
dialoghi scarni & passatisti devo dire mio karo kawstik,ma non ho voglia di prendermi la testa,brillano come lucciole nella notte, non vale la pena di sottovalutarli,possono essere dangerosi come fari accesi in pieno giorno!
ladyjinn
trovo che avete perfettamente ragione ladyjinn,qui si rasenta il limite dell’eccepibile,come disse Mazzini « qui ,o si fa l’Italia ,o si muore »
kawstik
qui o si fa « TERMINALART O SI MUORE » , mio sublime Kawstyk,non ho voglia di restar qui a pettinar le bambole ,con questi accademicati dall’ombellico ellittico,preferisco concentrar le mie forze sull argonautmentazione esistenzializzata sita tra le mie dita dei piedi.
trovo che avete perfettamente ragione ladyjinn,la radicalizzazione incondizionata deve essere esposta nell’impero argonautiko,dal momento che rappresenta un punto focalizzante della nostra epoca,che coincide esattamente con la loro,trovo questa coincidenza davvero allettante!