99 réflexions sur « Interlude: Le Jardin de Gertrude. »

  1. Remarquez, ça tombe bien, on aurait pu se croiser, j’ai très bien passé là l’après-midi à tenir des propos d’outre-tombe avec un des fins du lieu, grand esprit, mais un peu terre à terre, si bien que la conversation a fini par mourir d’elle-même. Mon grand regret : ce n’est pas ou plus la saison… des pissenlits (car ici,ils sont particulièrement charnus).

  2. Avez-vous remarqué le very smart accent grave sur ‘eût été’ ? J’ai en effet remarqué qu’une très belle clientèle anglaise vient prendre ici le thé d’été sur les ‘graves’ avec a very genuine accent ; c’eût été dommage de la raquer. Quel toupet !

  3. Votre jardin est bien plaisant à voir,il me met en état de réminisence silencieuse…Et ici ,on pense qu’i n’est pas interdi de penser que…(vous saviez qu’on célèbre votre canonisation saur un blog voisin?
                                       votre Hécate

  4. Je me mets dans la peau (breeeuuuhhhh!!!!) du Capitaine, canonisé à son âge, même avec sa jambe enlevée d’un coup de canon à Trafalgare Square, en traversant nuitamment, sous l’emprise du rhume et du rhum, hors des clous de la soirée…

  5. ah! ça cher ami!…que voilà gaillardement énoncé!!!!!!!!!!
                                              votreHécate-tombe!

  6. ça ne vous ressemble pas,c’est ça?………..Vous faites une plus belle défunte dans un cimetière que sur une châsse!….Vous chassez les espritrs,ou vousles..cherchez ?

  7. Soyez prudentes, Mesdemoiselles, en faisant tourner les tables, surtout vous, Juliette, qui n’êtes pas Drouet,… car, généralement, c’est à moi qu’on fait appel ensuite pour réparer les pieds… 

  8. Vous savez ce qu’elle vous dit, Drouet?

    Je suis par contre très douée pour le jet de guéridon.

    Alors vous avez googolisé Kosuth, le roi de la chaise?  Là il y surement quelques pieds de bois à réparer à moins que cela ne soit des Platon de tables.

  9. Sachez, chère, qu’en matière de philosophie, je préfère les péripatéticiens (et a fortiori, les péripatéticiennes) aux attablés, assis et autres pieds de table. Et tout hédoniste que je suis, je crie en choeur, de tout coeur, a cappella et à moi tout seul : ‘Si tu es gai, ris donc !’

  10. A parler franc, je ne sais à laquelle rendre le plus sensible hommage… Et, d’expérience, je crains tant certaine susceptibilité toute féminine (comme prudemment cette chose-là est dite !)

  11. Oui, je dois tout vous avouer — toute culture, même la plus soignée, a ses failles, je sais d’quoi j’cause — depuis la prime enfance, je confonds les filles du docteur March et les sœurs Brontë. Question de nombre, de physique, de personnalité, je ne sais…, mais cela m’a valu beaucoup d’ennui au passage du CM1 au CM2, croyez-moi ! Et puis, j’en parlais naguère à mon psy, des parents habitaient un lieu-dit ‘Le Hurlevent’, or, je ne les aimais guère…, surtout leurs filles…, des petites garces, à parler franchement…, surtout Émilie, ou Charlotte…, à moins que ce ne fut Anne, je ne sais plus…

  12. Et Branwell le frère? Il devrait vous réconcilier avec ces Brontë !
    Si vous survolez le thème des enfants du vent,vous verriez bien.Votre avis m’interesse,cher ami.
                                         Votre Hécate

  13. bien! bien! bien! tu a fait des pas an avant!!! pour me fair tomber dans ta toile,faut sourtout me peigner, mais je suis sure que tu veut pas du tout un portrait de moi, a ce point là la toile est inutile.
    by Judah Kanos le KAOStique.

  14. Tout cela n’est que du Kaostique amical, cher Judah; j’espère que cela ne t’a pas froissé.
    Mais avoue que c’est toi qui a commencé…
    Tu as ainsi fait connaissance de mon turbulent équipage. Ils parlent beaucoup mais ils ne sont pas mêchants… Enfin, juste un petit peu.
    Bien à toi, et merci de ta visite!

  15. je suis pas du tout froissè,plutôt etonné,c’est moi que a commencé?,mais c’est pas vrai???,vous m’avez chopé!!!,et maintenant qu-est-que je fais???
    Judah Kanos (poête minimaliste)

  16. … et si vous persévérez dans votre mauvais esprit (de Juliette), vous allez vous les prendre dans les pieds mes chaises… et pas musicalement du tout…, tout Capitaine au long cou que vous êtes !

  17. Dites plutôt vos « Ah hélas ! » … et je vous promets de vous envoyer, à l’occasion, une carte postale de Thouars, quand j’y passerai afin de vérifier s’ils y sont toujours… Enfin, peut-être !

  18. Pour vous tous les pissenlits que vous souhaiterez, ma plaie ambulante; et nous pourrons dé- ambuler et buller dans ce labyrinthe féérique qui sent la terre fraiche et bien nourrie.

  19. Oula!
    Les boutades vous font un effet!
    Bienvenu ignoble collectionneur!
    Je retire ce que j’ai dit.

    Ps: c’est pas sympa pour Clémence, surtout que vous lui avez mis un lien vers mon blog…

  20. Mêêêêêêêhhhhhh, qu’ai-je donc dis de mal ?

    Restez donc contempler les photos de cette Clémence, photographe du dimanche, si cela vous chante….
    Vous n’êtes pas obligé de fréquenter les méchants crânes, même ceux qui connaissent Fra Angelico et plus si affinité.

  21. « Etre une fête pour l’oeil ».Delacroix.(l’un des derniers mots du journal d’E.D,que vous ne pouvez mauquer de connaître,pardonnez -moi d’oser ici empiéter sur un terrain qui n’est pas dans ma oncession à perpétuiter!)

  22. Je n’ai pas de copine du nom de Clémence mais j’ai un chien, un chat noir, des charentaises, des huitres, des cerisiers, des pommes de terre, des livres pour me chauffer l’hiver, des monocles, un disque de Monk, des assiettes creuses, une moule domestique, un AK 47, des poules naines, une oie, du fioul, des asperges, un anus propre, des bretelles sales, une table , deux chaises, une carte postale de l’Oural de nuit, des asticots pour la pêche, un crâne avec de la viande dessus, une salamandre, les mémoires de Charles Quint, du lard, un balai brosse, 150 Mètres de ruban noir, une publicité pour acheter des truc, un folio de lettre recommandée, des miettes de pain, un livre d’André Breton quans je suis constipé, de l’huile de vidange, des poils pubiens, des chicons, des burettes, un tableau de Dürer avec un lièvre, une douche neuve, du bois et une cuvette en plastique…Mais pas de Copine du nom de Clémence. Vous devez confondre avec une recette de cuisine ou un animal de Sumatra à la tête sumatrale.

  23. Vous voyez le Mal partout Gertrude, moi je suis pur, j’ai la Grâce qui touchait Saint Augustin dans son jardin milanais; aussi vous souvenez-vous de ce Fra Angelico magnifique qui est au Musée de Cherbourg ? Mais pourquoi est-elle à Cherbourg cette croute et non près de mes volcans ? Clémence est une photographe de qualité qui mérite que l’on aille voir son travail de tous les jours.
    Méchante Gertrude, bhou !

  24. Vous voyez le Mal partout Gertrude, moi je suis pur, j’ai la Grâce qui touchait Saint Augustin dans son jardin milanais; aussi vous souvenez-vous de ce Fra Angelico magnifique qui est au Musée de Cherbourg ? Mais pourquoi est-elle à Cherbourg cette croute et non près de mes volcans ? Clémence est une photographe de qualité qui mérite que l’on aille voir son travail de tous les jours.
    Méchante Gertrude, bhou !

  25. je sais, il faut que je me reprenne. J’écoute de la Bossa Nova depuis 6 mois, quelques disques de Monk et Debussy, pas de quoi faire mes canines
    mais c’est tellement bon tout cela

    bona nit comme l’on dit en haut du Canigou

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