16 réflexions sur « La Rivière de Gertrude »

  1. étonnant votre titre, car de mon côté, lorsque  je me promène vers Le Mont-Dore, je ne peux m’empêcher de penser à l’Estuaire girondin, un peu comme si l’on pensais à une Maison de Retraite alors que l’on longe une crèche bondée de marmots hurleurs …. Bon, 21H00, je m’en vais de ce pas me faire une Vervène brûlante et au lit !

  2. J’ai vu..
    Demain, j’irai naviguer sur les flots ensorcelés de vos propos sur Nerval.
    Pour l’heure, je ne suis pas en possession de tous mes moyens pour affronter la force de votre magie, chère Sorcière.

  3. TRRRRREMBLEZ! SORCIÈRE!!!!

    Non, juste me remettre les yeux en face des trous et l’esprit au niveau de flottaison pour vous lire dans vos hautes sphères, Hécate…

    Peut-être en relisant une deuxième fois La Véranda avant de m’endormir…

  4. Relire « La véranda »???Alors…des points communs?…J’en frissonne…Ah! au fait j’ai filé à qelqu’un la référence d’un de vos blogs…si vous avez une visite inconnue…ne soyez pas étonnée…Bonne nuit Chère Ame..;

  5. Je vous en parle bientôt de cette relecture.
    Quand aux inconnus…
    Gertrude vogue toujours vers l’inconnu, dans une fuite éperdue et sans retour..

    Bonne nuit.

    Vous allez quand même contempler le Ciel, ce suaire, Sorcière?

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