Gertrrrrude
vue par le petit bout
de la lorrrrrgnette,
c’est tellement plus Rrose!
JC, L’étagère de Gertrude photographiée par stenope périgraphique,
temps de pause: huit heures
Cinq ans et un mois de web:
Que de trrrrrrrous d’R !
Des petits trous
des petits trous
sur
et
C’est là un bricolage made in Gertrude ?
Gertrude n’est qu’une longue histoire de bricolage.
Une mise en boîte ….
Une journée bizarre………Pour un peu c’était une mise en bière à mon étage…
Eh bé ! Tout ça pour ça ? Si c’est pas vain alors !!!
Vous y tenez.
Cela se précise!
Il s’agit d’exercer une bonne dose de paranoïa critique pour y croire!
Comme vous dites ! Comme dans la chanson de Brigitte Fontaine et Areski….
Je ne me souviens que du nougat.
Eh! bien………………….
Remarquez, le nougat doit bien faire quelques trous dans les dents à la longue….. Mais c’est tellement meilleur que les tickets de métro!
Je vois que j’ai poussé le nougat un peu loin.
On pourrait demander à Daniel Arasse de nous décoder tout ça. 🙂
Avoir le crâne d’Arasse chez soi, quelle classe!
Quelle foi que celle d’Arasse!
Question chanson, je pense plutôt à celle de Gainsbourg qui poinçonnait à tout va aux Lilas : « des pt’tits trous, des pt’its trous , toujours des pt’its trous « !
On n’y voit rien !
Même pas un détail !
Il aimerait bien, le pauvre ! Mais je crains que nulle crâneuse ne l’ait recueilli, comme vous l’avez fait avec Gertrude.
C’est tout de même intéressant d’observer un trou noir chez la rose : disparition de la matière ou « oeil noir » pour citer ce génial et regretté Arasse qui nous rappelle qu’en peinture il faut sans doute « voir pour croire, croire seulement à ce qu’on voit ».