La couleur diaphane du squelette de poisson, volée à l’incarnat de la Rose, raconte la chair absente, révélant sa délicate structure comme sublime Vanité. « Puis qu’une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir !«
Au-dessus le visage en extase de Glenn Gould et ses notes qui montent jusqu’aux étoiles..
Un retour très fatiguant, mais rien ne m’arrête, ou plus exactement, tous les pétales de Gourmont,se délitent dans une décadence totale…Peregrinus « le magnifique » me laisse sans mot, tant il excelle dans ses dévotions à la Rose…( parenthèse : là où j’étais il y avait « La véranda »…et les poèsies de Ph. Soupault, que j’ai donc maintenant…il y a : « ode à Apollinaire », ce qui fait que je suis loin d’être la seule à avoir écrit à Guillaume , ce qui m’enchante…Gertrude, vous me poursuiviez par la pensée ? Où était-ce une illusion?…Probablement….Ce sont les fabulations d’Hécate sans doute….Je suis brève et lente comme une barque funéraire, en cette fin de jour, comme celle de mon fond d’écran…un des tableaux et variations sur un même thème, vous faut-il le nommer?… Pour ajouer un peu de mystère à ce premier Avril, un poisson …une personne que je ne puis nommer, car « innomable », admire vos dessins , ce visage où la paupière est si doucement fascinante ,ce qui memplit de satisfaction, beau coup de chapeau ,ma chère !…Il est certain qu’une arête vous étranglera d’étonnement à lire ceci…N’en mourrez pas étouffée tout de même… ….la sorcière est là!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!( mordez ce que vous pouvez si la fureur vous saisit, mais pas mes doigts…)
Très peu compenssatoire c’est certain…Vous avez des chats? J’avais des chats avant de devenir la magicienne aux corbeaux. Vous êtes féline quand vous feulez de frustration…Attendez de ronronner comme chatte noire dans une »véranda »!…J’aimerais entendre cela…KroAa :ça ?ça va? vous modulerait mon Freux qui sait dire cela avec des variations flûtées de soprano,ou de haute-contre…Unique chère…une délectation…dont vous m’enviez le privilège, qui sait ?…vous avez un vieux crâne, j’ai une vieille âme…et quelques corvidés…Chacun a ce que le sort lui donne…
Non je n’ai pas de chat; mais j’ai eu un matou, enfant, qui s’appellait Pacha et qui était extrèmement méchant, il faisait la loi dans le quartier plein de greffiers sauvages, revenant ensanglanté de ses escapades et me guettait au coin de la véranda (eh oui nous habitions une maison de style colonial à Madagascar entourée d’une véranda et du chèvre feuille grimpant) pour me planter ses griffes par surprise dans les mollets..
J’ai reçu La Véranda; j’attends un peu, je fais durer le plaisir de l’attente; je suis en train de relire La peinture incarnée de Georges Didi-Huberman.
Qu’est-ce ? un roman ? J’aime beaucoup le style des maisons coloniales, et l’odeur des chèvrefeuilles me grise …vous me faites rëver. Après « La véranda »…il ne vous restera rien à lire de ce démiurge…alors …vous retardez le délice ,dans le supplice d’une attente qui n’attend plus que de votre volonté, ceci est très féminin…l’autre côté du Capitaine…
Par-fait !!!Plus on est de fous ou de folles plus on rigole !!!! Y a-t-il possibilté d’interdiction quant aux délits de moeurs ? Je vous préviens si j’ai le feu vert je me déchaîne !!!!!!!!!!!!!!
J’espère que la rose de la crémière n’est pas une fleur de Bach…
Par ailleurs, je ne sais pourquoi, sauf au concert (ou dans l’intimité du ‘je(u)’ de l’interprète), l’image (la vision) ne m’apporte guère plus que le son ne me donne déjà. Et, notamment en informatique, la déjà médiocre qualité de l’image se réalise au détriment du son. J’aime la pâte sonore et guère la soupe visuelle. Point de vue extrême, je le concède.
… mais pas une rose trémière.
(Goethe)
La couleur diaphane du squelette de poisson, volée à l’incarnat de la Rose, raconte la chair absente, révélant sa délicate structure comme sublime Vanité.
« Puis qu’une telle fleur ne dure
Que du matin jusques au soir !«
Au-dessus le visage en extase de Glenn Gould et ses notes qui montent jusqu’aux étoiles..
Le plus résonant des poissons pour Gertrude…
J’en reste sans voix..
MERCI
Un retour très fatiguant, mais rien ne m’arrête, ou plus exactement, tous les pétales de Gourmont,se délitent dans une décadence totale…Peregrinus « le magnifique » me laisse sans mot, tant il excelle dans ses dévotions à la Rose…( parenthèse : là où j’étais il y avait « La véranda »…et les poèsies de Ph. Soupault, que j’ai donc maintenant…il y a : « ode à Apollinaire », ce qui fait que je suis loin d’être la seule à avoir écrit à Guillaume , ce qui m’enchante…Gertrude, vous me poursuiviez par la pensée ? Où était-ce une illusion?…Probablement….Ce sont les fabulations d’Hécate sans doute….Je suis brève et lente comme une barque funéraire, en cette fin de jour, comme celle de mon fond d’écran…un des tableaux et variations sur un même thème, vous faut-il le nommer?…
Pour ajouer un peu de mystère à ce premier Avril, un poisson …une personne que je ne puis nommer, car « innomable », admire vos dessins , ce visage où la paupière est si doucement fascinante ,ce qui memplit de satisfaction, beau coup de chapeau ,ma chère !…Il est certain qu’une arête vous étranglera d’étonnement à lire ceci…N’en mourrez pas étouffée tout de même…
….la sorcière est là!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!( mordez ce que vous pouvez si la fureur vous saisit, mais pas mes doigts…)
Justement je vous attendais pour vous dire que Soupault avait écrit sur Guillaume A dans Mémoires de l’oubli et dans Profil perdu.
Ma curiosité est mise à mal: qui est donc l’Innommable?????
C’était bien votre course d’orientation au pays des sorciers?
J’ai commandé La véranda sur notre Web chéri.
L’innommable…ne peut être nommé…
Oui, voyez cela commme une envolée vers la « magie » et ses enchantemements…une autre plus naturelle, bien que…
Donc bientôt sur la véranda…bon voyage à vous…vous me direz si on en revient facilement… »Je prends peut-être ce train pour la dernière fois ».(r.a)
Rira bien qui rira le dernier..
Niark! Niark!
Pour l’instant Il n’est pas encote arrivé. Grrrrrrrrrrr!
Je n’ai que mon balcon qui sent la pisse des chats de la voisine….
Très peu compenssatoire c’est certain…Vous avez des chats? J’avais des chats avant de devenir la magicienne aux corbeaux.
Vous êtes féline quand vous feulez de frustration…Attendez de ronronner comme chatte noire dans une »véranda »!…J’aimerais entendre cela…KroAa :ça ?ça va? vous modulerait mon Freux qui sait dire cela avec des variations flûtées de soprano,ou de haute-contre…Unique chère…une délectation…dont vous m’enviez le privilège, qui sait ?…vous avez un vieux crâne, j’ai une vieille âme…et quelques corvidés…Chacun a ce que le sort lui donne…
Non je n’ai pas de chat; mais j’ai eu un matou, enfant, qui s’appellait Pacha et qui était extrèmement méchant, il faisait la loi dans le quartier plein de greffiers sauvages, revenant ensanglanté de ses escapades et me guettait au coin de la véranda (eh oui nous habitions une maison de style colonial à Madagascar entourée d’une véranda et du chèvre feuille grimpant) pour me planter ses griffes par surprise dans les mollets..
J’ai reçu La Véranda; j’attends un peu, je fais durer le plaisir de l’attente; je suis en train de relire La peinture incarnée de Georges Didi-Huberman.
Qu’est-ce ? un roman ? J’aime beaucoup le style des maisons coloniales, et l’odeur des chèvrefeuilles me grise …vous me faites rëver.
Après « La véranda »…il ne vous restera rien à lire de ce démiurge…alors …vous retardez le délice ,dans le supplice d’une attente qui n’attend plus que de votre volonté, ceci est très féminin…l’autre côté du Capitaine…
Pourquoi? Le Capitaine est une femme et Gertrude aussi; alors nous sommes expertes dans l’art et les subtilités des préliminaires.
Hum.. Je trouve que la conversation prend une tournure…
C’est de votre faute, Sorcière, vous avez le don de m’amener sur des terrains diaboliques.
Vous n’attedez que cela!…
Houla!
Voilà que maintenant vos propos clignotent en rouge!
Attention je lis toutes nos conversations à ma petite tribu… Passionnée
Par-fait !!!Plus on est de fous ou de folles plus on rigole !!!!
Y a-t-il possibilté d’interdiction quant aux délits de moeurs ?
Je vous préviens si j’ai le feu vert je me déchaîne !!!!!!!!!!!!!!
La réunion d’un Symposium s’impose…
Indeed, magic (bis)!
J’espère que la rose de la crémière n’est pas une fleur de Bach…
Par ailleurs, je ne sais pourquoi, sauf au concert (ou dans l’intimité du ‘je(u)’ de l’interprète), l’image (la vision) ne m’apporte guère plus que le son ne me donne déjà. Et, notamment en informatique, la déjà médiocre qualité de l’image se réalise au détriment du son. J’aime la pâte sonore et guère la soupe visuelle. Point de vue extrême, je le concède.
J’aime son visage extatique et son regard tourné vers l’intérieur..
Bien à vous Vincent.