Suspension Musicale


Variations lumineuses

pour célébrer

le Mois des Cornus


Vidéo découverte il y a longtemps au fond du blog d’un Batracien i-2

Petit bonjour au Maestro
Peregrinus

12 réflexions sur « Suspension Musicale »

  1. Touché ! (*)Il se trouve par ailleurs que c’est par Glenn Gould que j’ai découvert Bach et ses partitas : tardivement, après les passions wagnériennes et les éblouissements mozartiens – dans un mouvement  à rebours à l’encontre de la progression historique. Un autre monde que celui dans lequel je me retrouvais, une autre émotion : ordre et beauté, (mais pas de luxe), calme et – quand même ! – une certaine volupté…

    (*) Mais de « maestro », point.

  2. Je sais que Glenn Gould avait cessé de se produire en public.
    C’est donc avec le plaisir de la transgression que j’ai publié ces vidéos dans mes blogs..
    Par contre je ne savais pas si cela vous plairait.
    Mais je suis autant fascinée par le visuel que par la musique…

    Merci pour vos commentaires qui illuminent cette magnifique première journée d’avril (mon mois)… Maestro

  3. Tiens un courageux!
    (voir les conversations sur le blog rose…)

    Merci de ta visite, Niko; tes passages sont trop rares…

    Au fait, je croyais que tu étais allergique au Divin.

  4. Un certain Divin… ou plutôt la prétention qu’on certains tristes sires sinistres et pontifiants à évoquer le Divin… c’est parfois chiant les mots, oui parfois les mots sont divinement chiant, contrairement à Gould et Bach, subliment Divin.
    Je ne suis pas un grand littérateur (en bonne ou mauvaise part), je suis même tout l’inverse, et tout particulièrement en ce moment où le silence de ma tête atteint des sommets d’éloquences en matière de sagesse discursive. Il y a bien sûr d’autres raisons, plus triviales et usantes, que je ne développerais pas ici… tous ces trucs purulents du quotidien qui nous empoisse la vie.

    Et donc, et donc…

  5. Un rien de retard, le manche à balais a du se prendre dans les branches , accident comme un autre!Je voulais dans cet hommage classique au maestro Peregrinus, glisser que la magicienne tombe à genoux quand elle écoute  la passacaille en sol mineur de Biber( 1644-1704) sous l’archer magique de Stéphanie-Marie Degand .
                                                       Hécate

  6. Donc tes visites me restent…
    Précieuses.
    Que (tu crois) tu n’aies rien à dire ou pas

    Car si je continue cette activité absurde,
    c’est bien parce qu’il existe des gens comme toi sur la Toile.

    Merci Niko.

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