Tant va le cochon à l’Os
qu’à la fin, il se casse
Je dédie cet article à ceux qui rampent silencieusement et quotidiennement dans ma Toile à la recherche des misérables lambeaux de leurs vies défaites.
Ceux-là surveillent Gertrude comme la coupable idéale de leurs impuissances pathétiques ; ils guettent le moindre commentaire susceptible de nourrir la faim insatiable de leurs paranoïas.
Ils impliquent mon crâne, et le rien qu’ils savent de ma personne, dans une violence qu’ils n’infligent qu’à eux-mêmes, tout en caressant le doux pelage de leurs grandes douleurs sacrées. Ils brandissent la morale comme un étendard pour mieux masquer leurs malhonnêtetés ordinaires; trouvant, dans mes jeux, prétextes à leurs perversités, ils lâchent discrètement, çà et là, quelques perfidies enrobées de flatteries; ils croient ainsi combler le vide malodorant de leur désespoir qu’ils tapissent consciencieusement de rancœurs et de jalousie.
Est-il bien nécessaire de leur expliquer en quoi mon entreprise est bien loin des vicissitudes de leur réalité ?
Car ceux-là sont aveugles et sourds à force de reluquer le monde par le trou béant de leurs petits nombrils, et leur ignorance à mon égard n’a d’égal que la pitié que j’éprouve à leur sujet.
Et c’est bien habitée par ce pénible sentiment, que je leur ferai grâce de ne point les nommer.
Ils se reconnaîtront.
Qu’ils se cassent...
Cela fait exactement trois ans et un mois
que Gertrude est en ligne.
Pour l’occasion,
Gertrude Rose montre sa tête de cochon
et Gertrude Noire vous offre un verre.
Waouw ! Vlan ! Paf !
Je passais, juste avant d’aller casser la gueule à Morphée… Il va se prendre une de ces roustes cette nuit !
La pitié… Je ne saurais trouver plus grand mépris – aussi pénible soit-il à endurer – à adresser aux vils et aux fourbes (dont je ne sais strictement rien concernant les ceux et ceusses impliqués dans cette dédi-casse, dont même ce salop d’Amer ne pourrait se sortir indemne).
Mais vous le savez déjà Bel Os de ma Plaie…
Après les CacaOs amers, voici la broyeuse de ChaOS amer !
SolidarnOSc
Je me reconnais… Mais je reste. Na ! (Non mais… !!!)
La pitié (si j’Os(e) la comparaison) c’est comme les intoxications: il faut vomir un bon coup et après ….
Et puis non, j’hésite à cause de l’odeur pestilentielle….
Avec lOs comme fève au choc hola! et sans sucre ajouté.
Saigneur!
Vous faites une bien piètre menteuse! 🙂
La comparaison me Plaie mon Bel Os… Sans l’odeur, sans l’odeur… Quoique… Ca pue sa race aussi la pitié pas encore rendue en petit magma fielleux 😉
C’est vrai que garder le truc risque de vous ronger les intérieurs et vous cultiver des mycoses culpabilisantes au fond de l’épigastre.
Mais je pense que les miasmes vont bientôt sortir furtivement du bois.
La forêt est d’une densité si… Intrigante…
Là, il s’agit d’un pauvre bois chétif et stérile sans aucun écureuil ni champignons…
Peuh….
C’est encore plus chelou cet aspect chétif 😀
Quelque part je me complais (Plaie) dans les trucs chelous 😉
ya bris de verre …
ça craint les basilics sifflants …
Trois c’est un bon chiffre 🙂
Si vous saviez comme j’adore casser!
c’est pas l’amer à boire !
L’Amer à boire c’est une truc sans Faim.
Mais qu’avez-vous donc contre les nombrilistes?
Les seuls nombrilistes que j’admets sont les nombrilistes hélicoïdaux, par contre les trapézoïdaux m’intéressent un peu moins.
Émile quel plaisir de vous voir dans ma Toile! J »en ai le bulbe tout spiralé.
Laissons ceusses qui brandissent la morale …Elle varie selon les époques et les modalités des sociétés .Rien de très sérieux …
Certes les modalités de la morale changent selon les époques, mais ceux qui la brandissent appartienent toujours à la même espèce, une espèce qui se reproduit particulièrement bien et surtout à notre époque, une espèce qui est loin d’être en danger d’extinction…
Comme vous dites !
Vous faites partie du comité de vigilance anti-cochonceté?
Et on ne le dira jamais assez! 😀
Peuh! Il ne faut pas croire tout ce que vous voyez: ce cochon n’a jamais volé, il est en fonte, à défaut d’être fondu.
Du sang ! Du sang !!!
« i know the pig ! » programme d’interêt général
toujours à terr’ l’cochon volant ?