Le Capitaine a abandonné son grand cacatois,son perroquet,sa perruche ,sa trinquette et son petit foc et son guignol,ses bagues d’envergures,ses oeils -de-pie,sa ralingue de chute,rassemblés tous ses espars,parti faire des points de drisse… Bon vent!……………Hécate la flibustière
Chère Capitaine, j’espère que vous avez emmené ma défundulcinée avec vous… que vous ne l’avez pas abandonnée comme moi sur son étagère à prendre la poussière…
Si mon Os aimé est du voyage, prenez bien soin d’elle ; n’hésitez pas surtout à la tartiner de crème solaire haute protection non testée sur les bêtes à poils… Et ramenez-la moi entière !!!
Mais ne la montrez pas aux affreux Mochenus, qui seraient bien capables de lui lécher les orbites en la prenant pour une rondeur comestible au goût de frites et de merguez, ou à lui couler de la bière dans ses cavités… Saigneur ! Je crains de trembler jusqu’à votre retour.
Amusez-vous bien Ô Capitaine, tout de m’aime. Heu ! tout de même.
Pensée pour Gertrude: c’est la morte-saison en ce moment pour un crâne sur une étagère…tout seul…pensif…Un crâne émet des « pensées fantomatiques »,c’est certain. Gertrude est hantée….Juliette,pensez à lui demander les visions qui furent …lors de votre absence.Persuadée que Gertrude aura bien des choses secrètes sous son os altier…dans son mortel silence.
Moi je dis que ça commence à bien faire cette histoire de tête dans le sable hein !
Dans le sable on trouve des coquillages… de gros et beaux coquillages parfois… Et les os et les coquillages s’entendent fort bien paraît-il (c’est Robert qui me l’a dit ce saloupiaud)…
Cher Moujik, super cosaque d’eau douce de la flotte volcanique, si vous saviez à quel point Gertrude se repait avec une absolue perversité de ce spectacle..; Exactement comme le Capitaine lachée dans le rayon des boites Mont Blanc chez Carroufe…
hécate entre deux pannes de connexion et de cerveau-lent réalise tout juste que ce diable de Capitaine a glissé ses réponses entre les commentaires…un don qui lui fait honteusement défaut…H
J’ai pensé à vous, mon transi hâlé aux novas de l’espace: j’ai acheté une crême 100% bio avec filtre minéral spécial vieil os et qui ne tue pas le plancton.Si ce vieux crâne a pris une belle couleur de sablé doré, votre Capitaine, quant à elle, a développé une magnifique allergie aux rayons de l’astre solaire qui a transformé la peau de ses bras en un cuir d’autruche digne des plus luxueux sacs à mains vendus dans le centre de la Capitale.
Je note la douce attention que vous avez eu envers le plancton et je suis désolé, désolé, vraiment désolé pour la peaudautruchitude de vos bras… Non je ne ris pas ! Non non non…
Et oui, oui, oui, vous avez manqué à l’os venu de l’espace. Oui. Bon retour sur le rafiot Capitaine !
Avouez qu’un crâne en peau d’autruche….. Aussi, ais-je ramassé juste pour vous au bord de l’océan une coquille pustuleuse et délectable, brodée à l’aiguille d’oursin, mais pas moins douce pour autant…
La plage est un monstre, les viandes, les mégots plantés à demi-cachés, une vraie litière à matous, les amours d’huitres et jeunes puceaux, l’algue gluante, l’odeur, le poste radio sur RMC sports, les hurlements, les vieilles aux seins à l’air et immondes, les merdes de chiens cachés sous le château de sable du petit Steeven de Roubaix, le ventre gras du faux sportif, les mouettes criardes et chieuses, les vendeurs de viennoiseries hors d’âge, les volants, les ballons, les parasols Coca-Cola qui s’arrachent avec le vent et vont s’enfoncer dans le crâne des allemands rosés cochons, le CRS qui zieute les petits culs, les vagues mousseuses d’on ne sait quoi, l’odeur de saucisses qui vole, les avions publicitaires, l’égoût de la ville dont le conduit béton va bien loin jeter ses immondices et dont les flots bleus ramènent le jus dilué et au milieu,… Gertrude le crâne dans le sable, plantée, mysanthrope, duchampienne, les bras comme les ailes d’un moulin à vent mort la veille…
Vive le Massif-Central, terre de moqueurs et de moujiks poilus !
Donc à toi, Gertrude, les bandes de conques, les sots de service, la pelle du large et le sable couleur champagne… Bonnes vacances.
Construire des châteaux de sable sous la bleuité du ciel,afin de varier les plaisirs de la navigation ,une escale…
Le Capitaine a abandonné son grand cacatois,son perroquet,sa perruche ,sa trinquette et son petit foc et son guignol,ses bagues d’envergures,ses oeils -de-pie,sa ralingue de chute,rassemblés tous ses espars,parti faire des points de drisse… Bon vent!……………Hécate la flibustière
Trop tard! Pourtant j’avais un super commentaire, pour une fois!
Bien à vous
Pourquoi ne pas le lui écrire ,Emile?Elle le trouvera à son retour…J’ose intervir dans cette reflexion,j’espère n’être point trop importune…H.
si après ça ,elle supporte encore la plage!
Chère Capitaine, j’espère que vous avez emmené ma défundulcinée avec vous… que vous ne l’avez pas abandonnée comme moi sur son étagère à prendre la poussière…
Si mon Os aimé est du voyage, prenez bien soin d’elle ; n’hésitez pas surtout à la tartiner de crème solaire haute protection non testée sur les bêtes à poils… Et ramenez-la moi entière !!!
Mais ne la montrez pas aux affreux Mochenus, qui seraient bien capables de lui lécher les orbites en la prenant pour une rondeur comestible au goût de frites et de merguez, ou à lui couler de la bière dans ses cavités… Saigneur ! Je crains de trembler jusqu’à votre retour.
Amusez-vous bien Ô Capitaine, tout de m’aime. Heu ! tout de même.
échoué…du côté d’un certain défunt Buffet qui plus est!….
Pensée pour Gertrude: c’est la morte-saison en ce moment pour un crâne sur une étagère…tout seul…pensif…Un crâne émet des « pensées fantomatiques »,c’est certain.
Gertrude est hantée….Juliette,pensez à lui demander les visions qui furent …lors de votre absence.Persuadée que Gertrude aura bien des choses secrètes sous son os altier…dans son mortel silence.
Moi je dis que ça commence à bien faire cette histoire de tête dans le sable hein !
Dans le sable on trouve des coquillages… de gros et beaux coquillages parfois… Et les os et les coquillages s’entendent fort bien paraît-il (c’est Robert qui me l’a dit ce saloupiaud)…
Alors moi je psychote !
et sous le sable,sous les vagues quelques fonds marins….Allez,j’allume ici une lampe sans mèche qui n’éclaire guère…Je veux bien le croire!…H.
c’est qu’elle en serait capable!!!!de nous laisser languir après un Crâne…perdu dans la virtualité ,notre Damnation selon Gertrude!
Hécate
Merci Vincent, mon seau est plein de sable Show.
Navigation dans les fragiles édifices virtuels et sabliers du temps.
Ma quincaillerie vous aurait-elle manqué?
Je n’en doute pas…
Mais seuls les indices de vos rares et précieux commentaires suffisent à éclairer cet espace.
Merci, cher Émile.
Heureusement que vous veiilez au grain, chère sorcière.
Cher Moujik, super cosaque d’eau douce de la flotte volcanique, si vous saviez à quel point Gertrude se repait avec une absolue perversité de ce spectacle..;
Exactement comme le Capitaine lachée dans le rayon des boites Mont Blanc chez Carroufe…
Mmmmmmmmm!!!!!
hécate entre deux pannes de connexion et de cerveau-lent réalise tout juste que ce diable de Capitaine a glissé ses réponses entre les commentaires…un don qui lui fait honteusement défaut…H
J’ai pensé à vous, mon transi hâlé aux novas de l’espace: j’ai acheté une crême 100% bio avec filtre minéral spécial vieil os et qui ne tue pas le plancton.Si ce vieux crâne a pris une belle couleur de sablé doré, votre Capitaine, quant à elle, a développé une magnifique allergie aux rayons de l’astre solaire qui a transformé la peau de ses bras en un cuir d’autruche digne des plus luxueux sacs à mains vendus dans le centre de la Capitale.
Cachez ce Buffet que je ne saurais voir… et qui n’est pas Du.
Tant que ce n’est pas un silence mortel.
Dites-moi encore que je vous ai manqué, mon défunt amoureux, et je vous ramènerai les plus beaux coqullages…. foi de crâne sableux.
Autant allumer un cierge sous le Saint Antoine pour les crânes disparus en mer.
Gertrude en cuir d’autruche!!!whoua…la métamorphose Kafkaïenne !!!!
J’ai longtemps hésité à revenir de ce port ensablé….
Tiraillée entre l’odeur de frites et un pot de nutella oublié sur mon étagère….
cette lampe sans mèche vous réservera bien des surprises sous-marine…oui..oui…
Tant que vous ne me balancez pas des pommes dans la carapace…
Qu’est ce que vous préparez encore, sorcière à votre poste…
Toujours soupçonneuse,hein?…Une « geuserie » …m’dame !
Pour sur…
Et en plus, vous avez eu le temps de l’élaborer, de la cuisiner, la mitonner, la cajoler, la peaufiner..
Je sens que ça va être terrible…
J’irai voir vos nouvelles oeuvres avec un esprit frais, demain, ma chère sorcière.
c’est plus sage…en effet.H
Traitez moi de hareng pas frais…et saur tant que vous y êtes…
Une p’tite paresse estivale qui m’a valu des tonnes se sable en commentaire(plus long que l’article en fait!!!! raté ma paresse!!!!…)
H.
Ils sont tous revenus de la plage, tant vos propos sont magnétiques!
oh! c’est vilain « chat » et « noir »…hou !
dites que je suis pratique comme une ..éponge!…tant que vous y êtes à me sussurer vos mots doux!!!!H.
Je note la douce attention que vous avez eu envers le plancton et je suis désolé, désolé, vraiment désolé pour la peaudautruchitude de vos bras… Non je ne ris pas ! Non non non…
Et oui, oui, oui, vous avez manqué à l’os venu de l’espace. Oui.
Bon retour sur le rafiot Capitaine !
Avouez qu’un crâne en peau d’autruche…..
Aussi, ais-je ramassé juste pour vous au bord de l’océan une coquille pustuleuse et délectable, brodée à l’aiguille d’oursin, mais pas moins douce pour autant…
La plage est un monstre, les viandes, les mégots plantés à demi-cachés, une vraie litière à matous, les amours d’huitres et jeunes puceaux, l’algue gluante, l’odeur, le poste radio sur RMC sports, les hurlements, les vieilles aux seins à l’air et immondes, les merdes de chiens cachés sous le château de sable du petit Steeven de Roubaix, le ventre gras du faux sportif, les mouettes criardes et chieuses, les vendeurs de viennoiseries hors d’âge, les volants, les ballons, les parasols Coca-Cola qui s’arrachent avec le vent et vont s’enfoncer dans le crâne des allemands rosés cochons, le CRS qui zieute les petits culs, les vagues mousseuses d’on ne sait quoi, l’odeur de saucisses qui vole, les avions publicitaires, l’égoût de la ville dont le conduit béton va bien loin jeter ses immondices et dont les flots bleus ramènent le jus dilué et au milieu,… Gertrude le crâne dans le sable, plantée, mysanthrope, duchampienne, les bras comme les ailes d’un moulin à vent mort la veille…
Vive le Massif-Central, terre de moqueurs et de moujiks poilus !
Gertrude ne reviendra pas, elle fait des frites-saucisses dans une caravane d’une plage à Zuydcoote