Treize de janvier pour une Treizième Galaxie

Une Galaxie en valise

ou

Le Nécessaire de voyage

d’Hedgarallaan

le crâne cyberspatial

venu de la brillante planète

Plaiethore

dans la

Constellation du Grand Persil.

 

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JC, La Relique du Grand Persil ou La Légende d’Hedgarallaan, 2009-10, collection particulière.
Huile, acrylique, feuilles d’or, argile, verre papiers collés, sucre, cellophane, perles, rubans, papier collant attrape-mouche, éprouvette, bouchon de liège, strass, ancienne boîte de peinture achetée sur Internet en novembre 2009,
6 x 11 x 25 cm fermée, 4 x 24 x 25 cm ouverte.

 

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Contenu de la mallette :

 

Compartiment supérieur :

 

– Les portraits peints à l’huile d’Hedgarallaan et de sa Défundulcinée derrière leurs hublots.

– Un authentique brin du Saint Persil de Gertrude, élevé sous les cieux du système 75 et amoureusement séché entre les pages du catalogue Féminin/Masculin du Centre Georges Pompidou. La relique est conservée sous verre serti de clous de crucifié.

 

Compartiment inférieur gauche, dit Des représentations :

 

– Une véritable contrefaçon de ready-made entièrement faite main.

– Un autoportrait  Dada dadaïsé et Robert-réflexif .

– L’empreinte inframince d’un cerveau inconnu sur un objet trouvé par un Capitaine.

– Le portrait approximatif de la Tortue Robert tissé en perles.

 

Compartiment inférieur droit, dit Compartiment oxymore :

 

C’est le compartiment des splendeurs sanglantes, des arabesques violentes, des vérités voilées, des douceurs mortelles.

 

À cet endroit gît :

– Une Tagada Gertrude en sucre sous cellophane.

Composition : sucre glace légèrement teinté de colorant alimentaire. La recette  de la pâte à sucre avait été trouvée sur Internet sur le site de Martine qui a quatre enfants et un mari merveilleux. Les bonbons Gertrude ont été confectionnés pour êtres dégustés à l’occasion d’une communion d’idées.

Compartiment inférieur central, de L’attrape-mouche ou Siphon des fragiles toxicités :

 

– L’éprouvette  millésimée aux brillantes cassures à déboucher en cas de rencontres du troisième type.

– Le papier collant attrape-mouche de la marque Plaie-toxic à grand pouvoir attractif .

– La collection de diptères pris au piège des glues merveilleuses.

– Le décor mural Bzzzzzz.

 

La Malette

est l’ancienne boîte de couleurs d’un artiste inconnu, trouvée sur Internet par le Capitaine d’un cyber-rafiot. Elle garde les stigmates de la souffrance de La Peinture. Y est inscrit en palimpseste le Monogramme d’Hedgarallaan et de sa Défundulcinée, au centre de la configuration virtuelle des treize étoiles brillantes de la Constellation du Grand Persil.

 

Vous pouvez voir tous les détails de ce contenu

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Treize de janvier pour une Misssion Cyber


Cyber-Cinéma
ou
Les tribulations virtuelles
d’un crâne extraterrestre
à travers l’Espace Sidérant
d’un Système Urticant
Tout est parti de

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Treize janvier ou l’Horoscope d’un Crâne cyber

Le Signe
du Grand Persil

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Les cyber-crânes nés sous le Signe du Persil sont beaux et intelligents. Conscients de leurs vertus, ils sont soucieux de leur apparence.  Ils se plaisent à s’exhiber dans l’espace et à séduire tous les ossements qui passent et trépassent à la portée de leurs vaisseaux. Ils aiment les signes extérieurs de richesses virtuelles et ne reculent devant aucune provocation bloguesque pour bousculer les moutons galactiques  et les transformer en poussière d’étoiles. Ils s’entendent particulièrement  bien avec  toutes les têtes  en os nés sous les signes urticants, cornus et emplumés. Par contre ils sont strictement incompatibles avec les signes de connerie, de bêtise, de faiblesse d’esprit et de misère intellectuelle.

 

 

 

 

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Les impressions de Gertrude


Aujourd’hui, cela fait exactement deux ans
que Gertrude est en ligne

et pêche les illusions sur la Toile

img 0206JC, Décembre 2009,
La peau cathartique de Gertrude N°2
,
empreintes intérieures du crâne de Gertrude en argile dorées à la feuille, boîte à mouches de pêche achetée sur Internet,
3 x 10 x 15 cm

Tout se passait comme si, sur une route ne menant nulle part en particulier, on rencontrait successivement des groupes de voyageurs eux aussi ignorants de leur but et croisés seulement l’espace d’un clin d’œil. D’autres, au contraire, vous accompagnaient un petit bout de chemin, pour disparaître sans raison au prochain tournant, volatilisés comme des ombres. On ne comprenait pas pourquoi ces gens s’imposaient à votre esprit, occupaient votre imagination, parfois même vous dévoraient le cœur, avant de s’avouer pour ce qu’ils étaient : des fantômes. De leur côté, ils en pensaient peut-être autant de vous, à supposer qu’ils fussent de nature à penser quelque chose. Tout cela était de l’ordre de la fantasmagorie et du songe.

 

Marguerite Yourcenar, Un homme obscur.

 
img_0161.jpge4e5e6e7e8e10e11e12e13e14img 0159

JC, Empreintes du crâne de Gertrude en argile, dimensions variables.

Pianotez sur les empreintes du crâne de Gertrude pour écouter ses impressions.

L’imprégnation de Gertrude

 

 

 

Gertrude serait-elle une personne obscure et effacée ?

 

 

 

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JC, Tentative d’épuisementt du motif Gertrude par imprégnations successives, acrylique sur papier à infusion, 7 x 90 cm.



Qui est Gertrude ?

Vous ne le saurez jamais, et moi non plus. Et nous ne le saurons pas plus dans un an, dans dix ans… Mais une chose est sûre, Gertrude a pris goût à jouer avec cet univers virtuel.

Cependant, est-ce bien un jeu ? Car ce vieil os, mine de rien, avec son élevage chronique de poussière, se targue de tout faire mieux que moi, Juliette, conceptrice de cet espace, Capitaine de ce triblog à la dérive, moi la reine des misanthropes dont les amis se comptent sur les doigts de la moitié d’une main.

Gertrude, elle, mène sa barque sur le fleuve noir de ses désirs, elle commence à avoir ses habitudes, ses petits rites du coucher à se glisser dans les plis de l’interface, ses pantoufles de verre (vair et vers) à trop contempler l’écran aux douze coups de minuit, ses amis des représentations fantastiques dans l’anémic cinéma de ses fascinations, des interlocuteurs privilégiés à ses élucubrations interlopes.

Au Diable si elle récolte çà et là quelques pots cassés à travers sa gueule en miette, si elle perd quelques plumes absentes, si elle prend quelques cyber-râteaux dans ses dents cassées, si elle croit à l’amitié pour ignorer la morsure de la déception, du moment que cela lui procure sa dose de misérable émotion, que  sa surface morte sue, que sa boite calcique tinte , que cela lui fasse exploser le palpitant qu’elle n’a pas, luire sa chair oubliée. Advienne que pourra puisque rien en pourra lui arriver de plus.


C’est pourquoi elle me demande un tour de manège supplémentaire.




Pourtant Gertrude est sur Internet depuis déjà deux ans…

 

 

 


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L’empreinte de Gertrude.

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2 ANS
DE WEB

GERTRUDE
a-t-elle
laissé
son empreinte
sur l’interface?


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