8 réflexions sur « Points de vue sur Gertrude »

  1. Tu sais bien que je suis un os perdu. J’essaye bien de me retrouver avec quelques sutures et coutures maladroites (blog principal), je tente bien d’exister dans le miroir des yeux de mes interlocuteurs.

    Gertrude n’arrive même plus à se moquer ni à se noircir; rentrerait-elle dans une forme de neutralité? Cela préfigure la mort peut-être.

  2.  

    Un os perdu qui perdure, contre vents et marées… à la fois préfiguration et figuration de la mort.

    À mort, la mort, nous nous battrons contre cette chienne prétentieuse, jusqu’à ce que mort s’ensuive.

    La mort de Gertrude est peut-être la préfiguration d’une naissance, celle de Juliette C. 

    Neutralité… tout dépend de la manière de l’entendre… comme le reste, tout dépend de tout dépend… Pour se dépendre efficacement, il suffit de couper la corde… plus difficile est de se déprendre de liens immatériels… pour ce faire, il nous faut affuter nos fonctions cognitives, le problème est de trouver un bon rémouleur… J’ai noté à ton attention, il y a de ça quelques brouettes, un passage de « La Plâtrière », ça dit :

    « Lorsqu’il commençait à s’expliquer, il s’apercevait tout de suite que c’était absurde. Toute explication ne conduisait qu’à un résultat parfaitement faux, c’était là le mal général ; on expliquait tout et dans chaque cas, toute chose recevait une explication erronée ; les résultats de toute explication étaient toujours erronés. Son traité se divisait en neuf chapitres. Le chiffre neuf y jouait d’ailleurs le plus grand rôle : tout se résolvait par neuf, on pouvait tout résoudre par neuf (lui, l’architecte, ne le savait peut-être pas ?). Le neuf était plus important que le sept ; en ce qui concernait l’ouïe, le neuf était de la plus haute importance. »

    ac

  3. J’ai changé le point de vue de l’image (en la floutant, en accentuant les contrastes et en la retournant) ce qui donne une nouvelle image que j’ai tenté d’insérer mais je ne sais pas si ça va marcher…

  4. Stop, stop, stop… demande à l’os… mais là, il faudra bien… oh ouiiiii… il faudra l’attraper… et le lui dire… à l’heure du diner… oui, le dit nez, ce drôle qui a du flaire… l’un passe, l’autre reste… on est dans l’impasse… et qu’est-ce que l’on peut faire… ronger notre os en attendant ton retour.

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