Il y a comme une transmission de pensée: j’en découvre tous les jours sur l’art du Blog et j’étais justement en train de m’initier à comment tisser des fils entre mon petit antre et ceux qui me plaisent: tu constateras que j’en ai pas trouvé beaucoup jusqu’à présent mais je ne perds pas espoir. Tes compliments touchent mon organe cardiaque désséché mais je ne suis pas plus avancée dans mon entreprise; je te rapelle qu’il y avait une question…. Mais au point où j’en suis, je suis prête à tous les numéros spéciaux. (J’aime aussi la performance du poulet cramé, j’ai bien ri)
Faux! C’est encore trop froid. Essaye encore. Petit indice: ce n’était pas aussi loin que cela, bien que pas très chaud. PS: Gertrude n’est pas une relique.
Tu pourras dir au fantôme de GS qu’elle aurait mieux fait, au lieu de collectionner les oeuvres du Cubisme, de ne pas laisser filer MD en Amérique et laisser les étalagistes occuper le terrain; Mais comme c’est une Gertrude, on lui pardonnera… J’oubliais: c’est encore raté.
Je veux bien croire qu’il y a des apparitions sur mon blog, mais là je vais commencer à faire payer. Quand au « scoubidou » je ne creuserai pas, cela m’a l’air bien louche. Vade retro!
Dés que j’ai terminé d’enlever les toiles d’araignées je te retrouve vite avec tes énigmes Gertrude, mais pas à Levallois-Perret. C’est un signe, je reçois ton commentaire à l’instant où je t’installe en lien sur mon blog en chantier… Bien que je sois contraint de faire des travaux d’isolation suite à ce rude hiver, j’ai bien l’intention de te consacrer bientôt un numéro spécial, si tu m’y autorise, car j’adore ton travail
Ta relique ne serait-elle point originaire d’une lointaine peuplade Inuit ?…Victime du réchauffement climatique…découverte sur un névé à la dérive… D’où un premier témoignage photo capital du partage sauvage de sa calotte dans une glacière que se disputent russes, danois, islandais et canadiens… tous reconnaissant le corps de leur ancêtre et revendiquant la filiation afin de légitimer le plantage du drapeau entre les tours de pis pétrolifères, quant à elles pour l’heure toujours immergées… Dans l’attente des résultats des prélèvements adn, Gertrude daignera-t-elle lever le voile sur ce mystère au cours d’une allocution solennelle du genre, voyons… « c’est pas sous la banquise que j’enlèverai le bas ! »…
« Comment peut-on croire à ce que l’on crée alors que la publicité donne aux personnages tellement plus de réalité qu’on ne pourrait le rêver?… » -Gertrude Stein-
Béni-oui-oui du coeur desséché de sainte Gertrude, s’abandonnant au bon plaisir d’un Jésus, lui-même encore marqué par la fessée infligée par la vierge Marie sous le regard de trois témoins surréalistes dont Max Ernst ?…
Je t’assure, j’ai eu une apparition sur ton blog. La vierge en question m’appelait pour jouer au scoubidou. Ce jeu fête cette année son cent cinquantième printemps dans les hautes-Pyrénées.
Ne te dévoile pas trop vite quand même, j’aime le pouvoir de la suggestion moi
Avec une telle absence de réponse, je ne risque pas d’en montrer plus…
Il y a comme une transmission de pensée: j’en découvre tous les jours sur l’art du Blog et j’étais justement en train de m’initier à comment tisser des fils entre mon petit antre et ceux qui me plaisent: tu constateras que j’en ai pas trouvé beaucoup jusqu’à présent mais je ne perds pas espoir.
Tes compliments touchent mon organe cardiaque désséché mais je ne suis pas plus avancée dans mon entreprise; je te rapelle qu’il y avait une question….
Mais au point où j’en suis, je suis prête à tous les numéros spéciaux.
(J’aime aussi la performance du poulet cramé, j’ai bien ri)
Faux! C’est encore trop froid.
Essaye encore.
Petit indice: ce n’était pas aussi loin que cela, bien que pas très chaud.
PS: Gertrude n’est pas une relique.
Tu pourras dir au fantôme de GS qu’elle aurait mieux fait, au lieu de collectionner les oeuvres du Cubisme, de ne pas laisser filer MD en Amérique et laisser les étalagistes occuper le terrain; Mais comme c’est une Gertrude, on lui pardonnera…
J’oubliais: c’est encore raté.
Là tu te rapproche un petit peu de la Vérité; encore un petit effort…
« Défions nous des Maîtres » nous dit notre bon Cézanne.
Tu t’imagines quoi? C’est encore raté.
Je veux bien croire qu’il y a des apparitions sur mon blog, mais là je vais commencer à faire payer. Quand au « scoubidou » je ne creuserai pas, cela m’a l’air bien louche. Vade retro!
Dés que j’ai terminé d’enlever les toiles d’araignées je te retrouve vite avec tes énigmes Gertrude, mais pas à Levallois-Perret. C’est un signe, je reçois ton commentaire à l’instant où je t’installe en lien sur mon blog en chantier… Bien que je sois contraint de faire des travaux d’isolation suite à ce rude hiver, j’ai bien l’intention de te consacrer bientôt un numéro spécial, si tu m’y autorise, car j’adore ton travail
Ta relique ne serait-elle point originaire d’une lointaine peuplade Inuit ?…Victime du réchauffement climatique…découverte sur un névé à la dérive… D’où un premier témoignage photo capital du partage sauvage de sa calotte dans une glacière que se disputent russes, danois, islandais et canadiens… tous reconnaissant le corps de leur ancêtre et revendiquant la filiation afin de légitimer le plantage du drapeau entre les tours de pis pétrolifères, quant à elles pour l’heure toujours immergées… Dans l’attente des résultats des prélèvements adn, Gertrude daignera-t-elle lever le voile sur ce mystère au cours d’une allocution solennelle du genre, voyons… « c’est pas sous la banquise que j’enlèverai le bas ! »…
« Comment peut-on croire à ce que l’on crée alors que la publicité donne aux personnages tellement plus de réalité qu’on ne pourrait le rêver?… » -Gertrude Stein-
Béni-oui-oui du coeur desséché de sainte Gertrude, s’abandonnant au bon plaisir d’un Jésus, lui-même encore marqué par la fessée infligée par la vierge Marie sous le regard de trois témoins surréalistes dont Max Ernst ?…
L’apparition de sainte Gertrude incita-t-elle l’amante religieuse à ôter le bas ?…
Je t’assure, j’ai eu une apparition sur ton blog. La vierge en question m’appelait pour jouer au scoubidou. Ce jeu fête cette année son cent cinquantième printemps dans les hautes-Pyrénées.