Os de Paris

 

Sans faire trop cas d’Éros

Cela fait deux ans et onze mois

Que Gertrude a fait le pari

D’être Os de Paris

En tête Capitale

D’une dame de faire

 

Les-Reliques-0838-copie-1.JPG

JC, décembre 2010,
La Relique de l’Os de Paris,
photographie sous loupe, acrylique, crayon de couleur sur chromo sous verre bombé achetée sur Internet,
2 x 9 x 12 cm

 

Prenez le métro et faites quelques stations:

gertrudenoire

gertruderose

 

25 réflexions sur « Os de Paris »

  1. Getrude et l’obsession des reliques….et des transports en commun  !

     

    L’Os de Paris ,faut le faire ! une spécialité unique ,artisanale et estampillée .

                                                                            Bien vôtre

                                                                                        H.

  2. C’est cela…oui… Les transports en commun, un terme qui convient bien à l’entreprise gertrudienne: vous transporter tous dans mon cyber rafiot dans une folle communion.

     

    Amen!

  3. Vous comprenez bien, ma soeur Anne, que faire trop cas d’Éros pourrait nous amener très dangereusement et fallacieusement à nous interroger sur les aspects phalliques d’une vieille ferraille érectile et sur les capacités zéro tiques et spasmodiques des grandes Os.

  4. Mon cher Gustave, ces considérations spéculatives et boursicoteuses sur les envolées de mes côtes flottantes en mailles qui m’aillent sont vieilles comme l’Origine du Monde, et je garde le crâne froid quant à la flambée du gag 40, quand bien même ce serait le quarantième rugissant.

  5. Et bien, le mec contemplatif assis à droite, un peu constipé sur son socle, il ne m’a pas l’air si d’accord que ça avec le concept de l’os ferrugineux….

     

     

    Hips….

  6. Je pense que les nippons sont moins sensibles à la grotte de Bernadette que les cardinaux. De plus, ils marchent en rangs serrés et ont plus d’un objectif dans leurs sacs ce qui les aident à rester debout.

     

     

     

    Oups! Je crois que j’ai attrapé le syndrôme de Ledif Trocas, môa……

  7. Alors là, j’avoue que j’ai quelques manques dans ma culture; Mais en cardinal consciencieux, un tantinet jésuite, tu vas bien me trouver ça pour illustrer tes propos allumés.

  8. Je constate que Sainte Claire du Point G point comme, et dont notre père n’est pas vitrier va se coucher comme les poules mouillées alors que ce n’est même pas l’heure des vêpres ni des dés libération. Pourtant les points cardinaux devraient savoir que le Capitaine, pour ce vieux crâne creux, sous-traite la production de miracles et ne se fatigue pas à en produire à flux et à tir tendu, c’est trop fatigant et elle n’y gagnerait pas plus. C’est pourquoi nous avons parmi nos ouailles et nos brebis quelques princesses Bernadettes sorcinetttes à scoubidous intégrés, des faits du logiques, des bourlingueurs de l’espaces édentés mais pas sédentaires, des chevaux vapeurs et des Bernard ermites, et quelque jésuites en bas résille.

  9. Vous faites voir des os

    Vous faites voir des os quand vous riez, Gertrude,
    Dont les uns sont entiers et ne sont guère blancs ;
    Les autres, des fragments noirs comme de l’ébène
    Et tous, entiers ou non, cariés et tremblants.

    Comme dans la gencive ils ne tiennent qu’à peine
    Et que vous éclatez à vous rompre les flancs,
    Non seulement la toux, mais votre seule haleine
    Peut les mettre à vos pieds absents,

    Qui furent… Peut-être… déchaussés et sanglants

    Ne vous mêlez donc plus du métier de rieuse ;
    Fréquentez les convois et devenez pleureuse :
    D’un si fidèle avis faites votre profit.

    Mais vous riez encore et vous branlez la tête !
    Riez tout votre soûl, riez, adorable bête :
    Pourvu que vous creviez de rire, il me suffit.

     

     

    Poème baigné dans l’Os de Paris, afin de rendre hommage à Gertrude et à ce qui fait de vieux os.

     

  10. Je vois mon Bô qu’en ces OS…


    En ces os troubles nous nous émouvons

    En ces os t(h)ermales nous buvons les maux

    En ces os claires nous nous mirons

    En ces os dormantes nous rêvons

    En ces os sans eau nous brûlons

    En ces os dorantes nous nous enivrons

    En ces os de pluie nous pleurons

    En ces os qui dorent nous brillons

    En ces os vidés nous naissons

    En ces os séants nous nous noyons

    En ces os péra nous chantons

     

    En ces os Catarina tchi tchi

     

    J’en perd les os

    Et mes os de lapin

    Lapin de messe

     

    Et c’est la foire au pseud’os

    Dans ce vert à Os

    Si vers galant

    Mon Baron

     

    Ah ! Je ris de me voir si Belle en ce Miroir !

  11. Pareille spéculation de Notre Dame de St Aman-les-Ôs sur le lingot de métal blanc risque fort de nous conduire vers un nouveau déséquilibre des marchés et d’entraîner une flambée des places boursières…

    Manquerait plus qu’aux pieds de cette tour ne s’envole votre côte de maille !…

  12. Vad & RetrÔ 

    Trop cas des Rose

    Reluqueuses de reliques

    S’en est trop d’ÔÔs

    Ferrugineuse

    Offerte à la vieille dame

    Prostituée

    D’âge respectable

    À laquelle on impose

    Quatre fers en l’air 

    Et grand escarre

    Pour une mesure 

    Nota Bene diction

    Des plus Zaléatoires

     

  13. Je proteste !… Tu as Toit-même mis la barre très haut… (au sommet duquel toi échappe toute éminente vision du grade oeuf-cul-ménique)… En conséquence de coaaa je confis doigts et confis donc bénédiction en chaire Hécate appâtée, voire à défaut, s’il en manquait à la pelle, à quelque tour de roue de paon de Magicienne, et ce, concernant tous relevés d’empreintes nécessaires à l’an quête toujours et en corps en cours. Bonne nuit !

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