Variations lumineuses
pour célébrer
le Mois des Cornus
Petit bonjour au Maestro
Peregrinus
Petit bonjour au Maestro
Peregrinus
Le Capitaine
Comment la finesse des prismes se verraient-ils dans ces paumes?Peut-être est-ce ma vue défaillante…de près c’est peut-être différent.
Nos mains sont en dialogue et se tendent virtuellement ce soir et se rencontre, les miennes tracent ces lignes…
Qu’ai-je à vous dire que vous ne sachiez déjà?…si ce n’est que vous désiriez qu’on vous le dise…
Fragile au fond, mais furibonde de tant de désaccords entre apparence et intériorité.
Le crâne, ce vide,cette chair absente, permet de réorganiser l’architecture corporelle. Le corps du rêve, aussi le corps de rêve…
Tous ces objets que vos mains triturent…jusqu’aux effleurements du pinceau caressant une paupière close, cet instant de beauté absolue!
Quelle magnificence en vérité qu’une force domptée ainsi!
Mains , vois nous trahissent et ne savent mentir.
On ne triche pas avec.
On ne compose pas…on décompose, on se décompose aussi vers une mort irréelle. Fantôme toujours prêt à surgir…
La voix pose l’espace, les mains le modèle.
L’androgynie plus qu’en tout autre sommeille en tout artiste.
Dualité. Double. Narcissisme cherchant l’issue: l’autre ,où se voir tel que l’on apparaît au regard de l’autre, ce rêve éternel…
Un cadeau de la poétesse Hécate
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