les Paradis artificiels
de la
Vacuité.
*Le temps d’une Neuvaine.

JC, Le Pont Neuf, 1998,
Photographie noir et blanc,
Appareil à sténopé à périgraphie cylindrique,
temps d’exposition: 8s
Philippe Soupault,
extrait de
Ode à Paris.
Pendant son absence:
Allez suivre la Sagadada de l’été
sur
Restez en ligne!
Les chinois voient l’heure dans l’œil des chats
(…)
Et si quelque importun venait à me déranger pendant que mon regard repose sur ce délicieux cadran, si quelque génie malhonnête et intolérant, quelque démon du contre-temps venait me dire :
« Que regardes-tu là avec tant de soin ? Que cherches-tu dans les yeux de cet être ? Y vois-tu l’heure, mortel prodigue et fainéant ? »
Je répondrais sans hésiter :
« Oui, je vois l’heure ; il est l’Eternité ! »
Prochain article le quatorze juillet deux mille huit.