G Os graphies.

Ou les logiques Os-ganiques
dans la croissance du Crâne
et de ses représentations
entre soi-disant
maitrise du point
et tentative de canalisation
des fluides du Cas Os

Où l’on voit que la Crâneuse
n’a pas fini de chercher
en amont et en aval
de sa mémoire
OS-céanique et G-Os-graphique

« Quel qu’il soit, ce qui caractérise un hasard primaire est qu’il intervient comme point de séparation entre deux stades d’une théorie, l’amont, dont nous ne dirons quasiment rien, et l’aval, qui va, en somme, consister à remplacer des formes inattendues du hasard par d’autres formes, dont on se trouve avoir déjà l’habitude. »

Benoit Mandelbrot, Les objets fractals, forme, hasard et dimension, p.50, Edition Flammarion, Nouvelle bibliothèque scientifique dirigée par Fernand Braudel. 1975.

 

JC, février 2021, Variation océanique de Gertrude. Fil, toile de coton, 15 x 15 cm.

JC, février 2021, Profil de Gertrude en tâche aidée, brou de noix, acrylique sur papier, 25 x 37 cm.

Cela fait maintenant treize ans et deux mois qu’ici en-deça et au-delà
rien n’était prévu
mais rien ne sera laissé au hasard
(ou presque)

 

8 réflexions sur « G Os graphies. »

  1. Je conseille à Gertrude de ne pas laisser traîner de pareilles choses entre toutes les mains au risque de certains mécomptes. Dois-je rappeler que, d’une part, les gens sont méchants et que, d’autre part, le fichage systématique de tout profil est à la mode – à toute fin utile (ou non d’ailleurs). Ce n’est pas tout de célébrer le cérébral !

    1. Cher Vincent Steven, merci de vos conseils, vous qui êtes expert en la matière de profil flou, mais Gertrude n’est plus à quelque profil l’âge près et ne compte en aucun cas os de faire profil bas.

  2. Si les points épars en aval naissent des points brodés en amont, l’OS qui chute en amont avale l’attraction newtonienne. Nous ne sommes plus à un paradoxe près : ça pique et ça éclabousse, comme par hasard !
    Voilà Madame pourquoi votre crâne est éloquent tandis que l’intervention du hasard maîtrisé introduit une certaine diversité dans sa représentation croissante.

  3. ‌C’est qu’en effet, selon Gilbert [ 18721, I’existence de la dérivée dans une fonction continue f(x) se traduit, géométriquement, par I’existence de la tangente en un point quelconque de la courbe continue qui est la figuration géométrique de cette fonction, et s’il nous est possible de concevoir qu’en certains points singuliers. même très rapprochés, la direction de la tangente soit parallèle à l’axe des x ou I’axe des y. ou soit même tout à fait indéterminée, nous ne pouvons comprendre qu’il en soit ainsi dans toute I’étendue d’un arc de courbe, si petit qu’on le suppose d’ailleurs. De là, la tendance à regarder I’existence de la dérivée, dans une fonction continue, comme inutile à démontrer.

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