Avec toutes
ces doudouteries et ces tatouteries
on oublierait presque à quel point
Gertrude est une entreprise
bête, docte, pédante et absurde.
C’est la rentrée
et on ne résiste pas
à vous en mettre une petite couche
de l’art.
C’est vain si vain
mais c’est tellement bon…
JC, avril 2009, L’histoire du l’art, petite performance à partir de vieilles diapositives gravées publiée pour la première fois le 3 octobre 2012 sur le blog de Gertrude (vous pouvez toujours chercher).
Cela fait exactement quatorze ans et huit mois que ce crâne vous fait la leçon
bande de cancres !
En cette rentrée moRrose, je trouve votre entreprise très charcutière avec toutes ces tranches de l’art Rrose qu’elle nous débite. Et même pas de Bacon !
Francis était encore trop frais pour se retrouver dans les réserves brocanteuses où j’ai découvert mon trésor de diapositives diachroniques du l’art rouge. C’est vrai que cela aurait été la quintessence de la charcute-rie.
Voilà qui ne rend pas vaine cette exhumation de chair Rrose et charcutière (du sel nitrité, je présume), et l’argentique, lui, reste potable et rappelle à la vie des vieilles oripailleries artistiques que l’on disait musées jusqu’à la corde. Allez, Gertrude, et que ne soient pas, entre autres, maudits gli anni ! Persévérez jusqu’à la prochaine séance. Bon public, on reviendra ! … Bonbons, caramels, esquimaux…
Non ce n’est pas encore la dernière séance; ce serait malséant.
L’important, c’est l’Art Rrose.
Ne jamais oublier la Rosse cachée dans la Rrose.
C’est vrai que c’est très drôle toutes ces rondelles de saucisson qui défilent !
Le saucisson ça vous parle, le tripoux ça vous gagne!
Comme c’est normal puisque comme nous le savons tous ce Monde a été créé par un saucisson en sept tours de rondelles.
Et le septième jour le porc fit la sieste.
Et comment va le tatou ?
Il va bientôt faire une petite sortie.