3 juin 2008: Chronométrage n°6

Des limites de l’Anthropométrie dans la mesure de l’Incommensurable.
Hommage raté à Roman Opalka

Performance réalisée fin mai 2008.

Avec
Trois photographies.

Trois morceaux de musique de Patti Smith:
    – Kimberly, 1975
    – Kimberly, 2005
    – My Generation, 2005

Cela fait cinq mois que
Gertrude vogue la Galère


Le  petit mois de Mai* est mort
&
Opalka ne peut rien pour moi.


*Continuez votre petite promenade désespérée sur
l’excellent
sarkobasta.over-blog.com

8 réflexions sur « 3 juin 2008: Chronométrage n°6 »

  1. Et bé tiens comme collage rigolo avec les variations batraciennes, figures-toi qu’à l’instant-même je reçois ce mail de… Dominique Bergier webmaster@krakatoa.org http://www.krakatoa.org Subject: Parabole de la Grenouille selon O. CLERC, à méditer… Conte à méditer Vous avez sûrement déjà reçu ce texte, mais vu sa pertinence, relisez et diffusez largement. Merci Olivier Clerc, écrivain et philosophe, a envoyé un petit conte d’une grande richesse d’enseignement. Il s’agit du principe de la grenouille chauffée : Imaginez une marmite remplie d’eau froide dans laquelle nage tranquillement une grenouille. Le feu est allumé sous la marmite, l’eau chauffe doucement. Elle est bientôt tiède. La grenouille trouve cela plutôt agréable et continue à nager. La température continue à grimper. L’eau est maintenant chaude. C’est un peu plus que n’apprécie la grenouille, ça la fatigue un peu, mais elle ne s’affole pas pour autant. L’eau est cette fois vraiment chaude. La grenouille commence à trouver cela désagréable, mais elle s’est affaiblie, alors elle supporte et ne fait rien. La température continue à monter jusqu’au moment où la grenouille va tout simplement finir par cuire et mourir. > > – Si la même grenouille avait été plongée directement dans l’eau à 50°, elle > aurait immédiatement donné le coup de patte adéquat qui l’aurait éjectée > aussitôt de la marmite. > > Cette expérience montre que, lorsqu’un changement s’effectue d’une manière > suffisamment lente, il échappe à la conscience et ne suscite la plupart du > temps aucune réaction, aucune opposition, aucune révolte . > > – Si nous regardons ce qui se passe dans notre société depuis quelques > décennies, nous subissons une lente dérive à laquelle nous nous habituons. > > Des tas de choses qui nous auraient horrifiés il y a 20, 30 ou 40 ans, ont > été peu à peu banalisées, édulcorées, et nous dérangent mollement à ce jour, > ou laissent carrément indifférents la plupart des gens. > > AU NOM DU PROGRÈS et de la science, les pires atteintes aux libertés > individuelles, à la dignité du vivant, à l’intégrité de la nature, à la > beauté et au bonheur de vivre, s’effectuent lentement et inexorablement avec > la complicité constante des victimes, ignorantes ou démunies. > > Les noirs tableaux annoncés pour l’avenir, au lieu de susciter des réactions > et des mesures préventives, ne font que préparer psychologiquement le peuple > à accepter des conditions de vie décadentes, voire DRAMATIQUES. > > Le GAVAGE PERMANENT d’informations de la part des médias sature les cerveaux qui n’arrivent plus à faire la part des choses… > > Lorsque j’ai annoncé ces choses pour la première fois, c’était pour demain. > > Là, C’EST POUR AUJOURD’HUI. > Alors si vous n’êtes pas, comme la grenouille, déjà à moitié cuits, donnez > le coup de patte salutaire avant qu’il ne soit trop tard. > > Merci de diffuser largement. > SOMMES NOUS DEJA A MOITIÉ ‘ CUITS ‘ ?

  2. J’en connais un qui est nain et qui s’est fait élire par un gros tas de cons qui doit connaitre la stratégie de la grenouille mijotée progressivement à petit feu…..
    Et crois moi, Renato, les grenouilles sont cuites.

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