Passage* n°7


La Lumière obscurcie

par

les miasmes* boueux

de la

barbarie.


Paris, pont du Carrousel, mercredi trois décembre deux mille huit, dix heures trente minutes.

 


 

JC, Détail de Gertrude, Collection d’Automne, huile sur feuille morte de platane, 22 x 24 cm.

*Isidore Ducasse, Comte de Lautréamont, Les Chants de Maldoror, Chant deuxième.

(à suivre)

*Je vous rappelle que nous sommes la Saint Nicolas.

Passage* n°6

 

La Lumière

en trois points de

Fuite

pour une

Renaissance

improbable.

 

Paris, pont de Bir-Hakeim, mercredi vingt six novembre deux mille huit, onze heures quinze minutes.

 

JC, Détail de Gertrude, Collection d’Automne, huile sur feuille morte de platane, 22 x 24 cm.

 
 
*Isidore Ducasse, Comte de Lautréamont, Les Chants de Maldoror, Chant deuxième.

(à suivre)
 
 

Passage* n°1


Des dérisoires traversées

aux vaines déclamations,

Gertrude offre son absurde

nature morte

aux caprices de

la lumière.


Paris, Passerelle des Arts, mardi quatre novembre, seize heures.

JC, Détail de Gertrude, Collection d’Automne,  huile sur feuille morte de platane, 20 x 22 cm.

*Isidore Ducasse, Comte de Lautréamont, Les Chants de Maldoror, Chant deuxième.

(à suivre)

————————————————————————
ANNIVERSAIRE!

11
Novembre 2008

Gertrude passe encore par Maldoror pour franchir le Fleuve de son Désespoir, en semant à la Lumière les Détails de sa Nature Morte.
Soufflez la douzième bougie :


14 juillet 2008: Chronométrage numéro Neuf.

 
Absurde Défilé.

Neuvième Chronométrage
sur les lieux
d’un ancien Commentaire.

Hypothétiques Réponses
après cinq mois de


Conversations.

Performance réalisée un jour de la deuxième semaine de juillet deux mille huit
entre le 15, Avenue Junot, et le 20, Avenue Rachel, Paris, 18ème.

Les chinois voient l’heure dans l’œil des chats
 (…)
Et si quelque importun venait à me déranger pendant que mon regard repose sur ce délicieux cadran, si quelque génie malhonnête et intolérant, quelque démon du contre-temps venait me dire :
« Que regardes-tu là avec tant de soin ? Que cherches-tu dans les yeux de cet être ? Y vois-tu l’heure, mortel prodigue et fainéant ? »
Je répondrais sans hésiter :
« Oui, je vois l’heure ; il est l’Eternité ! »

Charles Baudelaire, L’horloge,
Le spleen de Paris.

Architectures sur
gertruderosecelavi.over-blog.com

————————————————————————
ANNIVERSAIRE!
7 Juillet 2008

Gertrude chemine en Révolution précaire à la rencontre des rapprochements improbables.
Soufflez la huitième bougie :

Prise de contact n°2.

 
Des inconvénients de

l’élasticité

dans la persistance
 
mémorielle.

Performance réalisée le quatre juin deux mille huit vers midi.

Avertissement:
La violence des images et de la bande son* de ce document vidéo est susceptible de bouleverser certains adeptes du Crâne.

*Où vous découvrirez que Gertrude écoute aussi Léo Ferré.

————————————————————————
ANNIVERSAIRE!
6
Juin 2008

Gertrude joue à se faire peur ;
Va-t-elle tout perdre dans l’expérience de l’Élasticité et prendre le risque de la mise à nu ?
Soufflez la septième bougie :

 

3 juin 2008: Chronométrage n°6

Des limites de l’Anthropométrie dans la mesure de l’Incommensurable.
Hommage raté à Roman Opalka

Performance réalisée fin mai 2008.

Avec
Trois photographies.

Trois morceaux de musique de Patti Smith:
    – Kimberly, 1975
    – Kimberly, 2005
    – My Generation, 2005

Cela fait cinq mois que
Gertrude vogue la Galère


Le  petit mois de Mai* est mort
&
Opalka ne peut rien pour moi.


*Continuez votre petite promenade désespérée sur
l’excellent
sarkobasta.over-blog.com