Neuf d’octobre pour Albert.

 

ANATOMIE
 
COMPARÉE

Gertrude invite Albert
à partager
son étagère  pendant quelques jours

et à se prêter à un exercice d’anatomie comparée.



Je remercie Vincent V.
qui un soir de vernissage a présenté Albert à Gertrude
et a confié au Capitaine de ce Triblog, pour une quinzaine, 
cet os scientifique appartenant à son grand oncle
.

La gymnastique physionomiste
continue
sur
gertruderose
et sur
gertrudenoire

52 réflexions sur « Neuf d’octobre pour Albert. »

  1. Ah!…
       OB chaotique !…Point aucune annonce de votre parution d’ALBERT!
    (le M de C vient de le découvrir…)
    Albert…très curieuse impression pour moi…Albert ,le prénom de mon défunt père …incinéré sur une valse: Le beau Danube Bleue…
    C’est assez hallucinant,comme une re-matéliarisation de mon père qui était ,je l’avoue très impressionnable depuis sa prime enfance quand au sortir de l’orphelinat ,àprès une méningite  qui l’avait privé de toute mémoire,il sétait vu jeté dans les champs par sa marâtre(un conte de féess :))et que rentrant à la nuit tombante il devait passer par un cimetière,où ,un jourf inissant il vit une ombre se profiler sur le dit mur …Cela bougeait,et ,la Lune et l’imagination faisant il crût …voir un spectre en ce qui n’était en réalité qu’un chat blanc qui venait de sauter…

    Voici pour mes impressions de maintenant où ce souvenir qu’il me conta revient…
                                                                                                                       votre Hécate
    PS.Mon père,Albert,plus tard eut un emploi de fossoyeur dans un cimetière,où ,relevant une tombe ancienne,sa pioche ramena …un crâne ! Il en fût effrayé!…Sidéré,ne sachant plus que faire…
                                                                                  Bonne soirée…:)

  2. Mon commentaire ajoute à l’étude expérimentale  de la plasticienne,je pense …
    Et,j’apprends cet après-midi,que mon amie d’enfance m’a dit avoir rêvé à mon père…:)…

  3. ce qui me frappe dans ces crânes ce sont tous ces creux, ces vides qui, il n’y a pas si longtemps, étaient pleins; où est donc passé tout ce qui les remplissait?
    je me souviens de nuits passées dans le cimetière de Montmartre avec Eliane surexcitée par l’idée de faire l’amour au milieu des gisants. Et moi, impavide…

  4. Moi aussi les cimetières, ça me fait des choses…
    Dommage que vous soyez resté imp-avide… L’expérience est unique, croyez-moi…
    En fait Eros et Thanatos sont dans le même chewing gum, machez bien!

  5. même si je suis resté impavide, nous consommâmes
    et ma trop belle Eliane parut très satisfaite…
    mais moi je suis toujours en équilibre au moment de l’orgasme
    avec ce désir d’en finir à CE moment
    et en même tant la gourmandise de beaucoup d’autres

    faut que je t’envoie les photos, Gertrude
    peut-être cette nuit à la lune

  6. Dans l’attente d’une véritable explosion de luminosités orbitales à poser aux plaisirs de votre Crâne, permettez-moi ma Promise de vous offrir, depuis les confins gloutons de la treizième galaxie, un bouquet de fins et capiteux clignotants, cueillis sur les brillants bitumes de ma réalité.

    Ne croyez jamais que je vous oublie.
    C’est moi qui aime à me perdre chez les beaux humains ces derniers temps.

    Votre.

  7. Mon os brille et rutile des reflets multicolores de vos lambeaux de réalité.
    Profitez bien de la chair des beaux humains avant de revenir fouler mes allées d’ossements, mon Transi.

  8. Moi toujours là, mais de temps en temps il faut que je rassemble l’ensemble de mes phalanges pour taper sur mon clavier;)

    Ah! Zut, je me suis trompée, vous parliez à mon Transi!

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